Liège-Décroissance
Groupe de Liège du mpOC
Liège-Décroissance
Groupe de Liège du mpOC
La liberté d'opinion est une farce si l'information sur les faits n'est pas garantie et si ce ne sont pas les faits eux-mêmes qui font l'objet du débat. Hannah Arendt (La Crise de la culture, 1961).
Si l'on ne croit pas à la liberté d'expression pour les gens qu'on méprise, on n'y croit pas du tout. Noam Chomski.
Rien ne vaut la vie, mais si rien ne vaut plus que la vie, alors la vie ne vaut rien. Cornelius Castoriadis.
La sélection d’articles, de vidéos et de livres (bibliographie) ci-dessous a pour objectif d’apporter un éclairage différent de celui monomaniaque du gouvernement et des médias dominants et ainsi de nourrir la pensée et le débat. Nous veillons à leur qualité intellectuelle, quand bien même le ton de certains articles pourrait paraître polémique à certains.
On nous a déjà reproché d’aborder des thématiques comme celles-ci qui n’auraient pas de rapport avec la décroissance, qui, rappelons-le, est un projet sociopolitique. À cela nous répondons qu’il est plus que jamais nécessaire de relier les divers aspects de la crise globale systémique dans laquelle nous nous enfonçons chaque jour davantage.
Bonne lecture !
Ce dossier consacré au covid comporte de nombreux documents, texte et vidéo, dont une sélection vous est présentée ci-dessous. Chaque article est présenté par un extrait ; cliquer sur « LIRE » pour voir ou imprimer l’entièreté de l’article (généralement au format PDF).
Dans chaque rubrique, les documents sont classés par ordre chronologique inverse.
Pour accéder à plus de documents, voir la rubrique « Autres documents et vidéos »
Pour évaluer la gravité de l’épidémie du covid-19 en 2020, il n’y a pas de meilleure façon que de partir des données de mortalité (nombre de décès) et de les comparer avec celles d’autres années et d’autres épidémies. Bien entendu, il ne suffit pas de comparer le nombre absolu de décès d’une année à l’autre, mais il faut tenir compte des changements de taille de la population et de l’évolution de sa répartition par tranches d’âge (« la pyramide des âges »), la mortalité augmentant de façon exponentielle avec l’âge.
La population vieillit, car il y a moins de jeunes et plus de seniors (une augmentation de 38 % des plus de 85 ans en 2020 par rapport à 2010 en Belgique), ce qui évidemment et naturellement a pour conséquence une augmentation du nombre absolu des décès annuels, indépendamment de toute épidémie. C’est aussi vrai de l’augmentation de la population (plus 6 % en Belgique sur les 20 dernières années).
Les études ci-dessous montrent qu’en termes de taux de mortalité(1), l’année 2020 n’a rien d’exceptionnel ; elle est « moins grave » que d’autres années (malgré que les médecins de première ligne n’ont pas ou pas pu assurer leur rôle correctement). Autrement dit, en appliquant les taux de mortalité par tranche d’âge de certaines années antérieures à la population de l’année 2020, on comptabiliserait plus de décès que constaté.
Il est bon de rappeler que dès le 1er semestre 2020, des médecins dans plusieurs pays avaient attiré l’attention sur le fait que le covid était une maladie bénigne pour les enfants et adolescents(2), moins grave que la grippe assurément, et, pour les adultes de moins de 60 ans, en moyenne moins grave que la grippe, ce qui apparaît clairement dans ce graphique établi début 2021 sur la base de données des mortalité en Belgique.
__
1. Taux de mortalité : rapport du nombre de décès au nombre d’individus de la population considérée.
2. Selon cet article scientifique publié en juillet 2021, le taux de mortalité du covid des enfants est de 2 par million ; parmi les enfants décédés, presque tous souffraient de comorbidités. La conclusion de cet article : « Le SRAS-CoV-2 est très rarement mortel chez les moins de 18 ans, même chez ceux qui présentent des comorbidités sous-jacentes ».
Une présentation, Mortalité et surmortalité du covid (PDF), faite lors d’une conférence-débat à Liège le 1er février 2022, « Covid : faits essentiels », organisée par Liège-Décroissance.
Par Christophe de Brouwer, professeur et président émérite de l’École de santé publique de l'Université Libre de Bruxelles (avril 2021)
« Les années de la décennie ‘2000’ montrent toute une mortalité* supérieure franche à 2020, sauf l’année 2009 qui est équivalente. Comme l’année 2020, l’année 2003 montre une mortalité spécifique de la tranche d’âge 85 ans et plus.
Pour la décennie ‘2010’, les résultats, sur profil belge, montrent une sous-mortalité de l’année 2020 pour la tranche d’âge de 0 à 24 ans, pour les deux sexes par rapport à toutes les autres années étudiées.
La mortalité de la tranche d’âge 25-44 ans est assez équivalente entre les années.
La mortalité de la tranche d’âge 45-64 montre une augmentation de la mortalité des années 2010 et 2012 par rapport aux autres années qui restent groupées.
Pour la tranche d’âge 65-74 ans et 75-84 ans, la mortalité de l’année 2020 rejoint la mortalité des années 2010 et 2012, alors que l’année 2015 devient intermédiaire.
La mortalité de la tranche d’âge 85 ans et plus montre une augmentation pour l’année 2020 par rapport aux autres années. C’est en cela que l’année 2020 est spécifique par rapport aux années précédentes.L’excès relatif de la mortalité constatée en 2020 en Belgique, réel par rapport à la décennie ‘2010’, mais non par rapport à celle de ‘2000’, apparaît être avant tout, sinon essentiellement, le reflet du vieillissement de la population belge, bien plus que le reflet d’un phénomène infectieux particulièrement dangereux. Une mauvaise gestion sanitaire comme facteur aggravant ne peut être écartée ».
* Il s’agit de la mortalité normalisée qui, pour chaque année, tient compte de la taille et de la pyramide des âges de la population c’est-à-dire la répartition par sexe et âge de la population : d’une part la population augmente, d’autre part la population vieillit depuis une dizaine d’années, c’est l’effet de l’arrivée dans les tranches d’âge supérieures des babby-boomers nés dans les années de l’après-guerre 1940-45.
LIREMise à jour pour l’année 2021
En mars 2022, Christophe de Brouwer a publié une mise à jour de son étude en y incluant l’année 2021.
En bref : « l'année 2021 est une excellente année, la deuxième meilleure de tous les temps, 2019 étant encore meilleure ».
LIRE.
Par Laurent Toubiana (Inserm, Sorbonne Université), Laurent Mucchielli (CNRS, Aix-Marseille Universités), Pierre Chaillot (INSEE – Institut national de la statistique et des études économiques), Jacques Bouaud (Inserm, Assistance Publique-Hôpitaux de Paris). Mars 2021.
« L’épidémie qui touché la France en 2020, montre une surmortalité nulle pour les moins de 65 ans (soit 80 % de la population) et très faible pour les plus de 65 ans (3,34% d’excès pour cette classe d’âge). Ce résultat est très loin des hécatombes annoncées et pour laquelle des mesures sanitaires disproportionnées ont été mises en œuvre.
La surmortalité observée en 2020 au passage de l’épidémie de Covid-19 serait en partie, un rattrapage du défaut de mortalité de 2019. Utiliser la mortalité de 2019 en tant qu’élément de comparaison pour estimer l’impact de l’épidémie en 2020 comme cela est pratiqué couramment, est donc une simplification doublement biaisée. Des démographes pourtant expérimentés n’hésitent pas à maximiser considérablement l’effet de l’épidémie de Covid-19 sur la mortalité avec des annonces tonitruantes visant à distordre la réalité par des calculs rudimentaires visant à comparer de manière simpliste la mortalité d’une année avec la précédente. Notre approche approfondie de l’étude de la surmortalité module considérablement leurs résultats.
Loin de menacer l’humanité toute entière, comme le déclarait trop précipitamment le directeur de l’OMS au début du mois de mars 2020, l’épidémie de coronavirus n’a représenté un danger mortel que pour les personnes dont la santé était déjà la plus fragile, que cette fragilité soit liée au vieillissement naturel et à l’immunosénescence qui en résulte, à l’existence antérieure de maladies graves ou encore aux conséquences de cette nouvelle maladie des sociétés occidentales modernes que constitue l’obésité liée au mode de vie et d’alimentation .
Pour toutes ces raisons, l’épidémie de coronavirus semble devoir venir s’ajouter à la liste des nombreuses viroses, dont la grippe saisonnière, provoquant des pathologies respiratoires sévères. Elle ne diffère pas fondamentalement des épisodes de grippes saisonnières les plus sévères. Dès lors, les comparaisons avec la peste médiévale, le choléra ou la grippe espagnole, que l’on a vu fleurir dans le débat public, sont totalement inappropriées ».
LIRE
Un travail, publié en juillet 2021 par le CDC américain (Center For Disease Control and Prevention) dans le journal Preventing Chronic Disease, fait le point sur l’importance des comorbidités dans les formes sévères et les décès associés au covid. En bref :
Par Pièces et main d’œuvre.
On se croyait seuls depuis lundi soir, dans le silence de l’été, comme tant d’autres sans doute, « abasourdis », « sidérés » par la « brutalité » du coup de force sanitaire du Chef d’En Marche, champion de la classe technocratique. Des messages de désarroi nous parvenaient de gens « pris par surprise », contraints d’annuler des événements, des réunions, des voyages, des vacances, contraints de subir des injections sous peine d’exclusion sociale, fichés, dénoncés à la vindicte officielle – celles de l’État et des forces qui le soutiennent, CSP +++ et Bac +++, de droite et de gauche « en même temps », bourgeois technocrates du Figaro et technocrates bourgeois du Monde. En attendant quoi ? D’être harcelés à domicile par les brigades sanitaires ? On se croyait seuls en voyant ce million de récalcitrants céder à la contrainte, souvent la rage au cœur, et se précipiter sur les sites de vaccination, à peine terminé le discours du Médecin-Président, afin d’éviter les représailles.
Mais aujourd’hui nous ne sommes plus seuls. Partout dans le pays, à Annecy, Toulon, Perpignan, Grenoble, Chambéry, Paris, Toulouse, Montpellier, Lyon, Marseille, Rouen, Nantes, Caen, Bastia, Avignon, Saint-Etienne, Lille, Bordeaux, La Rochelle, Douarnenez, Avignon, des manifestations spontanées, sans partis ni syndicats, ont scandé « Liberté ! » […]
LIRE
Par Children’s Health Defence Europe, le 7 mai 2021.
Depuis que l’OMS a déclaré une pandémie, l’Europe a vu l’avènement de deux instruments juridiques curieux : le Certificat vert numérique (DGC) et la Fiche de traçabilité numérique européenne (dPLF). Travaillant de pair dans un « cadre universel » draconien, ils creusent un trou législatif de deux mètres dans lequel la liberté de mouvement et le concept d’intégrité corporelle seront enterrés […]
LIRE
Par Karine Bechet-Golovko (30 mars 2021).
« Thierry Breton, commissaire européen, l’a présenté à nos yeux ébahis – d’horreur : voici l’arrivée tant attendue du « certificat sanitaire », qui n’est pas formellement un « passeport vaccinal », ne pouvant être obligatoire, mais dont vous aurez besoin pour accéder à l’espace public ou voyager, à moins de vous rendre la vie impossible en raison de l’obligation alors de faire un test à chaque fois que vous voulez aller au théâtre ou participer à un événement collectif. L’UE vient de l’officialiser – le danger est l’homme, l’accès à l’espace public est conditionné à des formalités liberticides à connotation sanitaire. Ce sont bien les contours de l’apartheid sanitaire qui se mettent en place, prix auquel vous aurez droit à une nouvelle vie dite « normale », autrement dit dont ce sera la norme. Puisqu’il n’y a strictement aucune force politique pour soutenir le mécontentement populaire, pourquoi se gêner ? » […]
LIRE
Une conférence de presse de 3 médecins belges à Liège le 8 décembre 2021 : Anne Franchimont, médecin généraliste, Michel Bureau, neuropsychiatre et Frédéric Caruso, anesthésiste-réanimateur qui font partie d’un groupe d’une cinquantaine de médecins, généralistes et spécialistes de tous horizons, actifs sur le terrain des soins avant et depuis le début de la crise covid.
LIRE
Par William Engdahl, consultant, diplômé en politique de l'Université de Princeton (juillet 2021).
« L'indéboulonnable chef du NIAID (Institut national des allergies et des maladies infectieuses, USA), Tony Fauci, a demandé à plusieurs reprises au public de « faire confiance à la science », alors qu'il passe lui-même d'une opinion scientifique à une autre. Ce qui n'est jamais mentionné dans les grands médias occidentaux et presque partout dans le monde, c'est le bilan scientifique des principaux géants pharmaceutiques mondiaux fabricants de vaccins. En bref, il est épouvantable et alarmant à l'extrême. Ce seul fait devrait empêcher les gouvernements d'imposer à leurs populations des injections expérimentales radicales et non testées, sans avoir procédé à des tests approfondis à long terme pour garantir leur sécurité ».
LIRE
Par Annes Bouria, Pharmacien Nutritherapeute, membre du collectif Transparence-Coronavirus pour l’objectivité de l’information et la liberté thérapeutique (6 février 2021).
Dans cet article, Annes Bouria, qui observe d’un œil attentif ce qu’il se passe depuis le début de la crise sanitaire, nous propose 10 points de débunkage (démystification) à propos du narratif officiel de la crise sanitaire et des croyances du grand public autour du covid.
1) Le « coronavirus » est un virus extrêmement dangereux
2) C’est un virus très contagieux
3) Il n’y a pas de traitements
4) …
LIRE
Par Christophe de Brouwer, professeur et président émérite de l’École de santé publique de l'Université Libre de Bruxelles (3 décembre 2020).
Il y a plusieurs dimensions à la question.
Examinons dans un premier temps la dimension clinique, la dimension épidémiologique et la dimension de santé publique.
La dimension clinique
Chaque virus pathogène possède des caractéristiques cliniques propres et des caractéristiques cliniques générales. Le sars-cov-2 ne déroge pas. Il fait partie du groupe des infections respiratoires aiguës (IRA), des grippes en termes générique. Mais il présente des caractéristiques propres, des traitements propres, qui, pour n’avoir pas été reconnus suffisamment rapidement en mars-avril ont généré une morbidité et une mortalité en excès évitable.
Je ne reviens pas ici, vu de l’étranger, sur la lamentable polémique entre les autorités et le professeur Didier Raoult, dont l’apport scientifique est exceptionnel dans cette crise (qu’il en soit remercié), polémique dont la résultante est objectivement un surcroît de souffrance au niveau des populations. Pour une bonne appréciation de l’aspect clinique, je renvoie vers sa dernière vidéo qui aborde ce thème.
Notons simplement qu’en Allemagne, ce fut une « grippette » qui n’a pas modifié la courbe générale de la mortalité, alors qu’en France, en Belgique et dans d’autres pays, ce ne fut pas le cas, ceux-ci ont fait face à une maladie particulière possédant une morbidité et une mortalité sérieuse. Pourquoi ?![]()
Le Dr Christian Perronne est chef du service des Maladies infectieuses et tropicales de l’Hôpital de Garches (30 novembre 2020).
Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première. Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés. Même le Président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-CoV-2. L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.
Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.
LIRE
Par Christophe de Brouwer, professeur et président émérite de l’École de santé publique de l'Université Libre de Bruxelles :
– 23 novembre : Faut-il dé-confiner ? Oui et en super-urgence.
– 20 novembre : Covid. Honte à la Belgique.
– Etc.
LIRE
Au 20 décembre 2020, la Suède connaissait environ de deux fois moins de décès par million d’habitants que la Belgique (745 contre 1580). Prenant de plus en compte les dégâts collatéraux causés par le confinement, le couvre-feu et d’autres mesures similaires prises en Belgique, il est évident que la Suède a mis en place une bien meilleure stratégie, à tout point de vue (pas de confinement, pas de couvre-feu, pas de masque obligatoire pour le public, etc. mais des recommandations aux moments clés : par exemple, éviter les grands magasins et autres lieux de concentration). À noter encore, du côté positif, la supplémentation en vitamine D est monnaie courante en Suède ; du côté négatif, comme en Belgique, l’HCQ n’est pas utilisée et, selon un rapport officiel suédois publié en décembre, elle a échoué à protéger les personnes âgées, ce qui pourrait expliquer la différence avec la Finlande où la mortalité est particulièrement faible (84 par million).
– Voir ci-dessous l’étude comparant les stratégies anti-covid de la Belgique, de la Hollande et de la Suède.
– Pour un aperçu du quotidien des Suédois, regarder cette tribune de Reinfocovid.
– Les recommandations de l’Agence de santé publique suédoise.
Une tribune qui devait paraître dans le Journal du Dimanche du 27 septembre mais qui a été censurée.
Il découle de tout ceci qu’il n’y a pas de sens à paralyser tout ou partie de la vie de la société en suivant des raisonnements qui sont parfois erronés dans leurs prémisses mêmes. Il est urgent d’arrêter l’escalade, d’accepter de remettre à plat nos connaissances scientifiques et médicales, pour redéfinir démocratiquement une stratégie sanitaire actuellement en pleine dérive autoritariste.
LIRE
Entretien avec Ariane Bilheran paru en février 2022 dans le journal La Décroissance
Propagande de masse, manipulation et contrôle des individus, organisation d'une psychose paranoïaque, désignation d'ennemis, persécution des opposants...
Pour Ariane Bilheran, psychologue clinicienne, auteur notamment de Psychopathologie de la paranoïa et Psychopathologie de l'autorité (Dunod), nos sociétés sont en train de sombrer dans le totalitarisme.
LIRE
Par Catherine Fallon (Université de Liège), Nicolas Thirion (Université de Liège – voir son livre Le confinement par les nuls dans la bibliographie ci-dessous) et Élisabeth Paul (Université de Bruxelles). Le 2 décembre 2021.
Nous accusons les différents gouvernements belges :
Nous accusons une majorité de parlementaires belges :
Une tribune signée par plus de 1200 universitaires et soignants. Décembre 2021.
L’idéologie de la vaccination intégrale et répétée des populations est une sorte de nouvelle religion, avec son dieu, ses grands maîtres argentiers, ses dévots, ses techniques de propagande de masse et ses mensonges éhontés. En ouvrant désormais la voie à la vaccination des enfants et en créant par ailleurs entre les citoyens des discriminations inédites pour des régimes réputés démocratiques, elle viole des droits humains que l’on croyait « inaliénables » et dresse les citoyens les uns contre les autres. Plus de 1.200 universitaires, médecins et soignants alertent dans une tribune sur QG, le média libre.
![]()
[…]
Les ressorts éculés de la propagande de massePour y parvenir [à la vaccination intégrale de toute l’humanité], ces gouvernements (et les nombreux journalistes qui les suivent au garde-à-vous) utilisent toutes les vieilles ficelles de la propagande. La logique de base est celle qu’expliquait déjà Jacques Ellul il y a 60 ans (Propagandes, 1962) : « En face de la propagande d’agitation [des révolutionnaires, des putschistes, des terroristes], nous trouvons la propagande d’intégration, qui est la propagande des nations évoluées, et caractéristique de notre civilisation. C’est une propagande de conformisation ». En effet, « dans une démocratie, il faut associer les citoyens aux décisions de l’Etat. C’est là le grand rôle de la propagande. Il faut donner aux citoyens le sentiment d’avoir voulu les actes du gouvernement, d’en être responsables, d’être engagés à les défendre et à les faire réussir ». On reconnaît là le fondement de ce qui est appelé nudge de nos jours, un mot anglais à la mode pour désigner de vieilles techniques de marketing et de publicité. C’est en effet aux années d’entre-deux-guerres que remonte cette conception moderne de la propagande. L’un de ses maîtres à penser fut Edward Bernays, dont toute l’œuvre de propagandiste et de publicitaire reposait sur l’idée que « la masse est incapable de juger correctement des affaires publiques et que les individus qui la composent sont inaptes à exercer le rôle de citoyens en puissance qu’une démocratie exige de chacun d’eux : bref, que le public, au fond, constitue pour la gouvernance de la société un obstacle à contourner et une menace à écarter », comme le résume son préfacier français.
Le premier socle permanent de cette propagande est la peur, qui permet de placer les sujets en état de suggestibilité[…]
LIRE
Par Toby GREEN (professeur d’histoire au Kings College London, auteur de The Covid Consensus: The New Politics of Global Inequality) et Thomas FAZI (écrivain, journaliste et traducteur, auteur de Reclaiming the State). Le 23 novembre 2021. Extrait :
[…] Un autre facteur expliquant l’adhésion de la gauche aux « mesures Covid » est sa foi aveugle dans la « science ». Celle-ci trouve ses racines dans la foi traditionnelle de la gauche dans le rationalisme. Cependant, une chose est de croire aux vertus indéniables de la méthode scientifique, une autre est d’être complètement inconscient de la façon dont ceux qui sont au pouvoir exploitent la « science » pour faire avancer leur agenda. Pouvoir faire appel à des « données scientifiques solides » pour justifier ses choix politiques est un outil incroyablement puissant entre les mains des gouvernements. C’est, en fait, l’essence même de la technocratie[…]
« Les consultants qui ont gagné des millions de dollars en conseillant des entreprises et des gouvernements ont obtenu des postes prestigieux, du pouvoir et des éloges publics, tandis que les scientifiques qui travaillaient bénévolement mais osaient remettre en question les récits dominants étaient accusés d’être en conflit. Le scepticisme organisé était considéré comme une menace pour la santé publique. Il y a eu un affrontement entre deux écoles de pensée, la santé publique autoritaire contre la science – et la science a perdu » (citation de John Ioannidis, professeur de médecine et d’épidémiologie à l’université de Stanford).
En définitive, le mépris flagrant et la moquerie de la gauche à l’égard des préoccupations légitimes des gens (concernant les confinements, les vaccins ou les passeports sanitaires) sont honteux. Non seulement ces préoccupations sont enracinées dans des difficultés réelles, mais elles découlent également d’une méfiance légitime envers les gouvernements et les institutions qui ont été indéniablement capturés par les intérêts des entreprises. Quiconque, comme nous, est favorable à un État véritablement progressiste et interventionniste doit répondre à ces préoccupations, et non les rejeter[…]
LIRE.Remarque
Les auteurs font bien le constat du rôle de plus en plus important de l’État dans l’engrenage covid et le développement du néolibéralisme (« La gauche n’a pas compris le rôle de l’État… »). Mais, étonnament, ils continuent de le voir comme la source d’un possible véritable changement malgré le constat d’autres avatars similaires par le passé (« Quiconque, comme nous, est favorable à un État véritablement progressiste et interventionniste… »).
Par Francis Leboutte le 18 octobre 2021.
Les données de mortalité générale en Belgique pour les trois premiers trimestres 2021 sont disponibles. Il s’agit donc de tous les décès, toutes causes confondues, covid inclus.
Sur les cinq dernières années et pour les trois premiers trimestres de l’année, c’est en 2021 que le total des décès est le plus faible (voir le graphique ci-contre), malgré une population qui augmente et qui vieillit.
Dès lors, pourquoi instaurer en cette fin 2021 un passe sanitaire (« covid safe ticket »), maintenir les mesures de contrainte (masque, etc.) et en fait organiser une obligation vaccinale qui ne dit pas son nom ? Évidemment, je pose cette question car je suis un conspirationniste !
De quoi sommes-nous morts en Belgique l’année du covid ?[…]
LIRE
Une interview de Mattias Desmet, psychothérapeute et professeur de psychologie clinique à l’université de Gand, réalisée par Partrick Dewals pour DeWereldMorgen.be (18 janvier 2021). Traduite en Français par Kairos le 9 février 2021.
« Peu de phénomènes ont eu un impact aussi profond au niveau mondial et aussi rapide que l’épidémie actuelle du covid-19. En un rien de temps, la vie humaine a été totalement réorganisée. Comment cela a-t-il pu se produire, quelles en sont les conséquences et à quoi pouvons-nous nous attendre pour la suite ? Nous l’avons demandé à Mattias Desmet, psychothérapeute et professeur de psychologie clinique à l’université de Gand ».
Extrait :
Les politiciens d’aujourd’hui fondent-ils leurs mesures anti-corona sur des hypothèses scientifiques erronées ?
Je pense que oui. Ici aussi, nous voyons une sorte de croyance naïve en l’objectivité se transformer en son contraire : un manque radical d’objectivité avec des masses d’erreurs et d’imprécisions. De plus, il existe un lien sinistre entre la montée de ce type de science absolutiste et le processus de formation des masses et le totalitarisme dans la société. Dans son livre Les origines du totalitarisme, la philosophe et politologue germano-américaine Hannah Arendt décrit comment ce processus s’est déroulé entre autres dans l’Allemagne nazie. Les régimes totalitaires en devenir se rabattent généralement sur un discours « scientifique ». Ils montrent un grand intérêt pour les chiffres et les statistiques, qui se transforment rapidement en pure propagande, caractérisée par un « mépris des faits » radical. Le nazisme, par exemple, a fondé son idéologie sur la supériorité de la race aryenne. Toute une série de soi-disant chiffres scientifiques soutenait leur théorie. Aujourd’hui, nous savons que cette théorie n’avait aucune valeur scientifique, mais à l’époque les scientifiques ont défendu le point de vue du régime dans les médias.
Hannah Arendt décrit comment ces scientifiques se sont détériorés pour atteindre un niveau scientifique douteux et elle utilise le mot « charlatans » pour le souligner. Elle décrit également comment l’essor de ce type de science et de ses applications industrielles s’est accompagné d’un changement sociétal typique. Les classes ont disparu et les liens sociaux normaux se sont dégradés, avec beaucoup d’anxiété et de malaise indéterminés, de perte de sens et de frustration. C’est dans de telles circonstances qu’une masse se forme, un groupe aux qualités psychologiques très spécifiques. En principe, lorsqu’une masse se forme, toute la peur qui envahit la société est liée à un seul « objet » — les Juifs, par exemple — de sorte que la masse s’engage dans une sorte de lutte énergique avec cet objet. Sur ce processus de formation de masse se forme alors une organisation politique totalement nouvelle : l’État totalitaire.
Aujourd’hui, on constate des phénomènes similaires. Il y a une énorme souffrance psychologique, un manque de sens et une absence de liens sociaux dans la société. Puis vient une histoire qui pointe vers un objet de peur, le virus, après quoi la population lie en masse sa peur et son malaise à cet objet de peur. Entretemps, l’appel à unir ses forces pour combattre l’ennemi meurtrier est constamment entendu dans tous les médias. Les scientifiques qui apportent l’histoire au peuple reçoivent en retour un pouvoir sociétal impressionnant. Leur pouvoir psychologique est si grand qu’à leur suggestion, toute la société renonce brusquement à toute une série de coutumes sociales et se réorganise d’une manière que personne n’aurait cru possible au début de l’année 2020.
LIRE
Par Grappe asbl (3 février 2021).
Confrontés à l’impasse dans laquelle le gouvernement et ses experts médicaux nous ont conduits dans la gestion de la crise sanitaire, le Grappe attend du monde politique la remise en cause de la stratégie délétère et inefficace actuellement en vigueur et l’adoption d’un objectif de santé globale. Une société sans contact avec des citoyens assignés à résidence derrière des écrans est invivable et inhumaine.
LIRE.
Par Michel Rosenzweig, philosophe et psychanalyste (22 décembre 2020). Et Fin de l’an 1 de l’ère covidienne, l’occasion d’un bilan et d’une mise au point (26 décembre 2020).
« Le Pr Péronne démis de ses fonctions de chef de service de l’AP-HP de Garches, le Pr Fourtillan embastillé en asile psychiatrique à Uzès, le Pr Raoult menacé de mort et attaqué en justice par ses pairs, disqualifié, discrédité et traité de charlatan, le Pr Toubiana subissant le même sort, le Dr Pascal Sacré convoqué à la Kommandantuur sanitaire de l’état covidien belge occupé par une clique de scientifiques malhonnêtes et mentalement atteints, des policiers transformés en auxiliaires de police sanitaire, un régime technosanitaire tyrannique régnant par la peur, la répression et même par une certaine forme de terreur hygiéniste, un climat malsain et suffoquant règne en cette fin d’année en France comme en Belgique, sans que personne ne puisse en apercevoir le bout du tunnel.
Des délateurs et des chiens de garde à tous les coins de rue pour vous rappeler à l’Ordre sanitaire, même dans les régions les plus reculées, des amendes dissuasives aux montants astronomiques qui s’abattent comme des fléaux antiques sur les contrevenants, les libertés individuelles réduites aux fonctions biologiques « essentielles » par les autorités publiques ayant basculé dans une pensée totalitaire décomplexée, car la situation est grave nous répètent-elles, se justifiant de déployer des mesures contraignantes et coercitives de plus en plus nombreuses au nom de notre santé et donc au nom de notre bien.
Et cette hystérie collective des vaccins qui vient maintenant s’ajouter aux bouffées délirantes thanatophobiques aigües et à la psychose collective virophobe » […]
LIRE
Par le Dr Frédéric Badel, médecin-psychiatre. Décembre 2020.
[…]La création d'un conseil scientifique fin mars, composé de personnes ne tenant pas compte des données de terrain et décidant seules de mesures sanitaires nouvelles, court-circuitant toutes les instances en place, constituait une anomalie. Le confinement pour un virus ne se justifiait pas, la France n'étant pas en guerre contrairement à ce qu'annonçait le Président, et l'interdiction faite aux médecins de soigner librement leurs patients était une atteinte à l’un des piliers fondateurs de la médecine. Traiter l'infection avec du paracétamol et ne pas consulter son médecin, ou encore aller à l'hôpital directement, a participé au retard de prise en charge et à l'augmentation de la mortalité, ainsi qu'à la surcharge de certains services. Nombre de structures privées ont vu leurs lits réquisitionnés rester vides. Et dans le même temps, leurs malades habituels n'ont pu être soignés comme ils auraient dû l'être, certains en sont morts. Le traitement donné à cette épidémie, tant médical que médiatique, ne ressemblait en rien à celui donné aux précédents épisodes virologiques. Le comptage quotidien du nombre de victimes rendait l’atmosphère menaçante et contribuait à terroriser la population[…]
Notre mode de vie a effectivement bien changé ; le Covid n'en est que le prétexte, le catalyseur. Cette dégradation de nos conditions d’existence et la disproportion des mesures prises pour lutter contre un virus donnent du crédit au discours de ceux qui voient là le moyen d'instaurer un nouvel ordre mondial qui doit annihiler notre vie privée et nos droits individuels. Les premiers constats montrent les signes de la réalisation de cet ordre nouveau. […]
– LIRE.
– Lire cet autre article de Frédéric Badel : Covid 19 : techniques de manipulation (7 septembre 2020).
Par Valérie Tilman, philosophe et enseignante (23 octobre 2020).
« Le masque est enfin tombé : la phase 1, la seule qui, selon le nouveau baromètre Covid belge, puisse nous rendre notre liberté de respirer sans filtre, de revoir les visages des gens, de côtoyer à nouveau nos proches s’ils le souhaitent, de sortir librement la nuit tombée pour faire des rencontres amicales ou pour quelque raison que ce soit, cette phase 1 correspond au niveau 1 défini comme aucune circulation du virus. Ce niveau ne peut être atteint que lorsqu’il existe une immunité de groupe grâce à un vaccin efficace et accessible au public(1). Mission impossible donc. » […]
LIRE
Par Alexandre Penasse, journaliste (Kairos, le 22 octobre 2020).
Alors que l’on tente de nous faire croire qu’un futur vaccin serait le Graal, la panacée qui sauvera l’humanité d’une extinction par le Covid-19, les médias qualifient de complotistes ceux qui dévoilent les conflits d’intérêts qui font douter des beaux discours sur la priorité donnée à notre santé. S’interroger sur la décence de profits énormes attendus suite au malheur collectif semble insupportable pour les sphères proches du pouvoir. Pourtant, ces liens qui unissent les gouvernements avec les multinationales pharmaceutiques sont au cœur du problème. Il demeure donc plus que jamais essentiel de savoir qui parle et qui décide de notre avenir. Car nous ne pouvons raisonnablement écouter et croire ceux qui œuvrent pour un intérêt privé maquillé en bien commun.
LIRE
Par le Dr Pascal Sacré (11 octobre 2020).
Le 22 octobre, Pascal sacré, spécialiste en anesthésie-réanimation et en soins intensifs a été licencié de l’Hôpital de Charleroi pour délit d’opinion non conforme, hôpital où il pratiquait depuis 17 ans (vous trouverez son droit de réponse dans le même document).
« Par quelles connaissances de la psychologie et de la manipulation des masses Adolf Hitler et ses sbires avaient-ils réussi à acquérir un pouvoir aussi absolu ?
Explorer les ouvrages sur le totalitarisme, le militarisme, la guerre froide, le sectarisme religieux, le racisme, la paranoïa, la psychologie des foules, la modification du comportement et le contrôle des cerveaux ne relève pas, pour ma part, d’une curiosité morbide, mais aide à répondre à cette question torturante.
Comment le peuple allemand, ces dizaines de millions de gens « normaux », ce peuple qui n’était en rien différent d’un autre peuple, en rien différent de nous aujourd’hui, en rien différent de ceux et celles qui habitent autour de nous, avaient pu basculer aussi facilement et rapidement dans l’horreur de masse ?
Placés dans des circonstances identiques, combien d’entre nous seraient capables des mêmes atrocités [1] ?
À l’heure de l’hystérie covidienne, le « covidisme », de tous ses mensonges tolérés, de toutes ses exagérations officielles, prétextes à toujours plus de règles et d’intrusions des gouvernements dans la liberté citoyenne, avec manipulation de la pensée, trucages des chiffres, agitation mentale et peurs injustifiées entretenues par les médias, nous sommes en droit de frémir, non pas devant cette infection virale, mais devant tout ce qu’elle entraîne comme totalitarisme » […]
LIRE
Par Michel Weber, philosophe (11 septembre 2020).
« L’événement Covid-19 a déjà fait couler beaucoup d’encre. Tout et son contraire ont été affirmés, parfois par les mêmes personnes, et au même moment. Démêler l’écheveau nécessite donc de simplifier le récit. Il y a bien sûr un prix à payer pour ce faire ; il est double. D’une part, il faut ignorer ce qui semble accessoire ; d’autre part, il importe de remettre l’événement dans son contexte historique, à la fois au sens perspectif (la crise culturelle qui remonte à 1968) et projectif (les conséquences politiques immédiates).
Pour l’essentiel, on trouvera ici une thèse — la crise de la Covid-19 n’est pas sanitaire, mais politique, et aucune des mesures liberticides n’est fondée scientifiquement — soutenue par trois arguments :
1. La Covid-19 rend évidente la corruption complète du corps politique et de ses appendices médiatiques et scientifiques. Ils ont définitivement perdu toute légitimité et toute autorité.
2. Cette corruption reflète la crise du capitalisme financier, et la volonté des oligarques de détruire la démocratie représentative.
3. Le système politique qui se met en place est totalitaire, c’est-à-dire que toutes les facettes de la vie des citoyens seront pilotées par une structure idéologique mortifère ne différenciant plus les sphères privées et publiques. Ce totalitarisme sera fasciste et numérique. » […]
LIRE
Une interview de Vandana Shiva, le 22 mai 2020.
– Basta ! : Comment analysez-vous la crise du Covid-19 ? Peut-on parler de crise écologique ?
Nous ne sommes pas face à une seule crise. Il y en a trois qui interviennent simultanément : celle du Covid-19, celle des moyens de subsistance et, par ricochet, celle de la faim. Elles sont les conséquences d’un modèle économique néolibéral, basé sur le profit, l’avidité et une mondialisation menée par des multinationales. Il y a un fondement écologique à cette situation : par exemple, la destruction des forêts et de leurs écosystèmes favorise l’émergence de nouvelles maladies. Ces trois crises amènent à la création d’une nouvelle classe. Ceux que j’appelle “les laissés pour compte”, exploités par le néolibéralisme et l’émergence de dictatures numériques. Il faut une prise de conscience : l’économie dominée par les 1% n’est pas au service du peuple et de la nature.– La crise du coronavirus peut-elle justement renforcer le pouvoir de ces « 1% » et des « philanthrocapitalistes » comme Bill Gates, figure centrale de votre livre ?
Cette crise confirme ma thèse. Bill Gates met en place son agenda pour la santé, l’agriculture, l’éducation et même la surveillance. Pendant 25 ans de néolibéralisme, l’État s’était mué en État-entreprise. On observe désormais une transformation en un État de surveillance soutenu par le philanthro-capitalisme. Ces 1% considèrent les 99% comme inutiles : leur futur, c’est une agriculture numérique sans paysans, des usines totalement automatisées sans travailleurs. En ces temps de crise du coronavirus, il faut nous opposer et imaginer de nouvelles économies et démocraties basées sur la protection de la terre et de l’humanité […]
LIREPrésentations (powerpoints)
Les documents présentés lors de la conférence-débat « Covid : faits essentiels » du 1er février 2022 organisée par Liège-Décroissance :
- Stratégies de lutte contre l’épidémie de covid. Explications du point de vue de la dynamique virale. Par Joonas Parikka, docteur en microbiologie virale.
- La présentation (PDF)
- Références :
- COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink (Ari R. Joffe, février 2021)
- Is a Mask That Covers the Mouth and Nose Free from Undesirable Side Effects in Everyday Use and Free of Potential Hazards? ( KaiKisielinski et autres, avril 2021)
- The end of the pandemic will not be televised (David Robertson, Peter Doshi – décembre 2021)
- Mortalité et surmortalité du covid (PDF). Par Francis Leboutte, ingénieur civil.
En Belgique, de nombreux recours ont été déposés par différentes personnes et associations. En plus de ceux énumérés ci-dessous, consulter ceux de l’association Notre Bon Droit asbl.
Le Réseau « Résistance et Libertés » projette un recours en annulation de ce décret devant la Cour Constitutionnelle auquel vous pouvez participer, soit comme requérant, soit comme donnateur, à faire sans tarder et au plus tard le 12 juin 2022.
LIRE plus…
Vous pouvez y participer via le site nopass.fr sur lequel une vidéo de 2 minutes explique le sens de l’action (la participation est ouverte aux citoyens du monde entier). Il est simple et rapide de participer. Coût : l’impression des 13 pages du formulaire de requête (déjà partiellement pré-rempli), l’enveloppe et le timbre pour la France.
Le 28 juin 2021, le CSAPE (Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens) a déposé à la Cour pénale internationale (CPI) une plainte contre des dirigeants français et d’autres* avec demande d’ouverture d’enquête pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, servitude et génocide.
* Pour la France : le président, les ministres, le comité scientifique (conseil scientifique Covid-19), le président de l’Institut Pasteur, le président du Centre national de la recherche scientifique, le directeur général de l’Institut national de la santé, de la recherche médicale et Sanofi Pasteur, etc. Au niveau international : le directeur général de l’OMS, Bill Gates, la présidente de la commission européenne, la directrice de l’Agence européenne du médicament (EMA), etc.
« Nous demandons à la Cour d’ouvrir une enquête contre ces personnes pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, servitude et génocide ».
- La note de diffusion du CSAPE (PDF, 1 page)
- Lire la plainte du CSAPE (PDF, 64 pages) qui, en même temps, constitue une excellente analyse et argumentaire tout azimut.
- Voir l’interview de Raphaël Cohen, directeur juridique du CSAPE (février 2022, 1 h 44).
Le Dr Yves Couvreur, soutenu par d’autres médecins, a déposé une requête en annulation au Conseil d’État de la directive que l’ordre des médecins a transmis à tous les médecins de Belgique en janvier 2021, cette directive disant qu’il considère que tout médecin doit faire la promotion de la vaccination et que tout médecin contestant le bienfait de la vaccination sera menacé de sanctions sévères. « Tout est faux » dit-il dans cette interview du journal Kairos : cette vaccination qui n’est qu’une expérience menée sur la population, le discours du Big pharma et des politiciens, la littérature scientifique…
Une interview de Renate Holzeisen, avocate italienne, par Senta Depuydt de Children’s Health Defense Europe, en juillet 2021. Elle a introduit plusieurs actions en justice contre la Commission européenne et d’autres. Il est encore temps pour tous les européens d’intervenir dans le recours en annulation qu’elle a déposé contre l’autorisation du vaccin Janssen ou Johnson & Johnson (rejoindre l’action, jusqu’au 30 août 2021) – les délais sont dépassés pour intervenir dans ses recours contre les autres vaccins.
Extrait :
[…] la Commission européenne et l’AEM [Agence Européenne du Médicament ou EMA], déclarent que ces substances [les 4 vaccins géniques en cours] sont autorisées pour la prévention de la maladie. Elles n’ont jamais déclaré l’autorisation pour la prévention de l’infection parce que l’AEM elle-même affirme qu’il n’est absolument pas prouvé que ces substances fonctionnent pour la prévention de l’infection[…] Ils ne sont pas autorisés pour la prévention de l’infection par le virus, et cela est juridiquement contraignant.C’est la base légale à partir de laquelle nous devons commencer et, par conséquent, tous ces « Laissez-Passer verts / Pass sanitaire » (Covid pass), qui font référence à une preuve de la vaccination avec l’une de ces quatre substances, sont illégaux. Ils ne sont pas fondés sur des faits.
Le 10 octobre 2020, six associations en Europe ont déposé un recours en annulation
devant la Cour de Justice de l’Union européenne contre un règlement supprimant
l’évaluation des risques liés aux OGM pour les vaccins contre la Covid 19.
Lire le communiqué.
Déposée par Me Carlo Brusa pour la plateforme Réaction19 (une association loi 1901) pour :
– Mise en danger de la vie d’autrui.
– Tromperie aggravée.
– Abus de faiblesse.
– Extorsion aggravée.
Les informations qui suivent sont extraites d’un article de Martin Zizi disponible sur le site de Kairos (« PCR inutiles si on est asymptomatique »). Le Prof Dr Martin Zizi est un ancien président du Comité d’éthique et de la Commission pour l’éthique médicale au sein du département de la Défense belge, en charge des relations avec l’Ordre des Médecins entre 1997 et 2004, ancien Directeur scientifique et Chef de la Division Épidémiologie et Biostatistiques, chercheur en Biologie moléculaire et Biophysique ; il fut conseiller/expert pour les autorités belges, l’UE et l’ONU.
Une PCR positive ne signifie pas qu’il y a une infection
Les germes vivent parmi nous tout simplement. Par exemple, vous et moi, nous avons quasi tous à un moment ou à un autre sur notre peau des germes de type staphylocoques. Si nous faisions des PCR sur des milliers de gens demain, nous aurions presque toujours entre 30 % et 66 % des « cas positifs » au sein de toute la population prise au hasard. Combien d’entre nous ont une infection à staphylocoques de la peau ? Quasi personne !
Donc déclarer un cas de covid sur base d’un test PCR positif d’un patient sans symptôme n’est pas justifié.
Dans les USI (Unité de Soins Intensifs) en Belgique, certains de ces patients qui n’ont pas contracté le covid sont malgré tout étiquetés « covid » parce que le test PCR est « positif ». Et ceci même, parfois, en l’absence de tout tableau clinique d’infection respiratoire !
Une PCR positive n’équivaut pas une personne contagieuse
Le virus SARS-CoV-2 reste présent dans notre corps des semaines après que la maladie soit terminée – et donc nous ne sommes plus contagieux à ce moment (il existe de nombreuses publications à ce sujet). Cette période de non-contagion est 4 à 6 fois plus longue que la période de contagiosité ! Donc on peut déduire de ceci et du point précédent qu’une portion importante de ces tests positifs ne reflète absolument pas un risque de contagion (une portion difficile à quantifier avec précision).
3e problème avec ces tests PCR : les enjeux financiers énormes
À raison de 600-2000 tests par jour en pic pour un petit labo et au prix de 47 euros, cela fait du chiffre. Et combien pour un grand labo universitaire ou des entreprises privées ? Plusieurs centaines de millions d’euros juste pour la petite Belgique. Tout cet argent pour des tests qui nous aident si peu et permettent de justifier de manière ad hoc ce suicide médical, social et économique ?
Il serait bon que les conflits d’intérêts de certains des conseillers à ce sujet fassent l’objet d’une enquête.
Les asymptomatiques
Une des plus larges études jamais effectuées le fut à Wuhan sur près de 11 millions de personnes. Elle montre que ces asymptomatiques – même s’ils sont PCR positifs – n’émettent que peu de virus (ce qui est logique car ils ne sont pas malades et donc ne toussent pas !) et que leur taux de contagiosité est quasi nul. C’est passé inaperçu… Pourquoi ?
On peut donc conclure de cet article et d’autres similaires, qu’établir une politique sanitaire sur la base unique d’un tel test est totalement non fondé et ne peut mener qu’à des mesures absurdes, inadaptées et nuisibles.
Une étude de Quentin De Larochelambert, Andy Marc, Juliana Antero, Eric Le Bourg and Jean-François Toussaint publiée le 19 novembre 2020 (en anglais). Principales conclusions :
Lire :
Cette étude publiée le 23 octobre 2020 compare trois stratégies anti-covid différentes, celles de la Belgique, de la Hollande et de la Suède. Par Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda et Lana Augustincic.
Présentation et conclusions en bref :
- Le résumé, l’introduction et la conclusion (3 pages).
- L’étude complète (31 pages).
Voir les graphiques ci-dessus pour la situation en Suède au 22 décembre 2020
Cliquer pour agrandir (sjukdomsfall = cas confirmés, avlidna = décédés).
Suède : 10,4 millions d’habitants. Belgique 11,5 millions (au 1er janvier 2020).
Après avoir affirmé que le port du masque pour le public était inutile, deux mois plus tard, la plupart des gouvernements européens l’ont rendu obligatoire, une injonction reprise sans nuance par la quasi-totalité des médias. Que croire et que penser de ce revirement qui semble bien être une mesure politique qui n’est basée sur aucune étude scientifique sérieuse ? En effet de telles études, qui iraient à l’encontre de tout ce qui se sait à propos de la protection que procure le masque en cas de maladie virale depuis plusieurs dizaines d’années, ne peuvent être produites en quelques mois. De fait, il a fallu attendre le mois de novembre 2020 pour voir publier une étude prospective randomisée sur la protection qu’offrirait le masque facial par rapport au virus sars-cov-2 (« Danmask-19 », voir ci-dessous).
Image ci-contre : 8 faits à propos des masques (en anglais). Cliquer sur la vignette pour agrandir. À noter qu’en France, les importations de masques chinois ont coûté près de 6 milliards d’euros, environ le double du budget du ministère la Culture (source : « Les masques font leur trou », Le Canard enchaîné du 10 février 2021). Extrapolation de ce coût d’importation pour l’UE (sans le Royaume-Uni) : environ 40 milliards d’euros.
Par l’Independent Scientific Institute (décembre 2021)
Résumé
La particularité du système immunitaire inné des enfants fait que le covid est pour eux une maladie bénigne et ils sont peu actifs dans la chaîne de transmission du coronavirus. Il n’y a pas de preuves que masquer les enfants non malades – les enfants malades doivent rester chez eux – réduise la transmission du virus, surtout qu’une mauvaise utilisation du masque, chose fréquente chez l’enfant, augmente le risque de contamination. Assurer la qualité de l’air en intérieur fait baisser le risque de transmission à un niveau pratiquement nul. L’infection étant pour eux sans danger, elle procurerait aux enfants l’avantage d’une immunité large et durable, efficace contre la transmission. Les enfants pourraient même développer des anticorps sans jamais être testés positifs et sans être contagieux. Les tests sérologiques montrent d’ailleurs que 40% d’entre eux sont déjà immunisés. Le masque est pénible et présente des risques accrus pour la santé physique et mentale des enfants en plein développement, dont les conséquences à long terme sont méconnues. L’intérêt supérieur de l’enfant ne nous semble donc pas rencontré. Masquer les enfants amène plus de problèmes de santé, ainsi que des destructions cognitives et comportementales, pour un gain illusoire.
Par Aryan Afzalian (Ingénieur civil et Docteur en Sciences Appliquées), Nour de San (Consultante indépendante. Docteur en médecine, spécialisée en biologie clinique, immunologie et microbiologie), Florence Parent (MD – PhD, Santé publique et pédagogie médicale, auteur d’ouvrages en Éducation médicale), Martin Zizi (MD-PhD, Biophysicien, Professeur de Physiologie (KULeuven et VUB), ancien Directeur épidémiologique du Département de la Défense).
« La plupart des mesures coercitives non pharmacologiques prises pour lutter contre le Covid-19 n’ont pas de bases ou de preuves scientifiques solides d’efficacité démontrée. Sur le long terme, elles constitueraient pourtant un facteur de maltraitance psychologique pour de nombreux citoyens et sont contraires à la constitution. Nous revenons ici sur le cas des masques que nous allons développer et préciser, et montrons, études scientifiques à l’appui, qu’un allégement des mesures plus respectueux de la santé psychique et des droits fondamentaux des personnes pourrait être pris. Cet allégement ne semblerait pas impacter la sécurité de chacun ».
Article publié sur le site de Kairos le 6 juillet 2021
Lire aussi (en anglais) cette métaétude (sur base d’une centaine d’études) montrant les effets indésirables et les dangers potentiels du port du masque, par 8 scientifiques allemands : Is a Mask That Covers the Mouth and Nose Free from Undesirable Side Effects in Everyday Use and Free of Potential Hazards? (mars 2021).
Première et, fin 2020, seule étude prospective randomisée pour évaluer le rôle protecteur du masque chirurgical pour celui qui le porte dans le contexte du covid, elle est connue sous le nom de « Danmask-19 » et a été publiée le 18 novembre 2020. Elle a été menée au Danemark où un 1er groupe de 2 995 participants a été suivi du 14 avril au 15 mai et un 2e groupe de 3 029 du 2 mai au 2 juin (80,7 % d’entre eux ont terminé l'étude). Dans chaque cas, les participants, qui ne pouvaient avoir été diagnostiqués ou avoir les symptômes du covid, ont été assignés au hasard dans un groupe témoin sans masque et un groupe avec masque. Les porteurs de masques (chirurgicaux) devaient le porter en dehors de leur domicile et de leur lieu de travail, et au moins trois heures par jour (ce qu’ils ont fait en moyenne 4,5 heures par jour), en respectant les consignes pour un port du masque adéquat.
Les principaux enseignements de l’étude :
- Les participants qui portaient un masque chirurgical n’ont pas été moins nombreux à développer le covid que ceux du groupe témoin (pas de différence statistiquement significative entre le groupe porteur et le groupe témoin).
- La conclusion est la même si, parmi les groupes porteurs du masque, on ne prend en compte que ceux qui l’ont porté « exactement comme indiqué » ; parmi ceux-ci, 2 % ont été testés positifs pour le sars-cov-2 contre 2,1 % dans le groupe témoin.
Cette étude montre donc que porter un masque en dehors du lieu de travail et du domicile n’apporte pas de protection supplémentaire à celui qui le porte, dans le contexte d’une population ne portant généralement pas de masque mais où les autorités recommandent la mise en quarantaine des patients diagnostiqués covid, la distanciation physique et l’hygiène des mains.
Ce résultat est en accord avec les conclusions d’une méta-analyse de l’institution Cochrane sur des études prospectives randomisées sur l'efficacité des masques pour la prévention contre le virus de la grippe et autres infections virales.
Les courbes épidémiques (nombre de cas par million en fonction du temps) d’une douzaine de pays montrent que le port masque obligatoire n’a pas d’influence sur leur allure, à quelque moment qu’intervienne l’obligation (augmentation, diminution ou stagnation du nombre de cas). Le port du masque obligatoire ne ralentit pas la propagation de la maladie et ne semble pas avoir d’effet sur le nombre de cas comme le suggèrent les courbes du Texas et de la Géorgie.
– Cliquer sur la vignette ci-contre pour agrandir et voir plus de courbes.
– Source (en anglais) : Yinon Weiss, thefederalist.com, le 29 octobre 2020.
Les risques tels qu’énumérés dans un document de l’OMS :
- auto-contamination par contact avec un masque contaminé ou en cas de réutilisation de ce masque ;
- selon le type de masque utilisé, éventuelles difficultés à respirer ;
- faux sentiment de sécurité qui peut amener à négliger d’autres mesures de prévention comme la distanciation physique et l’hygiène des mains ;
- détournement des stocks de masques et donc pénurie pour les agents de santé ;
- détournement de ressources consacrées à des mesures de santé publique efficaces, comme l’hygiène des mains.
Ces autres risques sont aussi mis fréquemment en avant :
- lésions cutanées faciales, dermite irritative ou aggravation de l’acné en cas de port fréquent et prolongé du masque ;
- difficulté de communiquer clairement ;
- sensation possible d’inconfort ;
- problèmes liés à la gestion des déchets ; l’élimination sauvage des masques peut entraîner une augmentation du volume des déchets dans les lieux publics, présentant un risque de contamination des préposés au nettoyage des rues et des risques pour l’environnement ;
- difficultés de communiquer en cas de surdité et de dépendance de la lecture labiale ;
- difficultés spécifiques liés au port du masque éprouvés par :
- les enfants
- les personnes atteintes de troubles mentaux ou de déficiences développementales,
- les personnes âgées atteintes de déficiences cognitives,
- les asthmatiques ou les personnes souffrant d’affections respiratoires chroniques,
- les personnes ayant récemment subi un traumatisme facial ou une intervention chirurgicale orale ou maxillo-faciale,
- ainsi que celles qui vivent dans un environnement chaud et humide.
Hypoxie et hypercapnie
Le port du masque peut engendrer l’hypoxie (manque d’oxygène dans le sang) et par la même un affaiblissement du système immunitaire.
Il peut aussi être responsable d’une hypercapnie (taux excessif de CO2 dans le sang) : « Sous un masque, une simple mesure de concentration du CO2 montre des taux compris entre 2000 ppm et 10 000 ppm soit 2 à 10 fois la limite d’exposition recommandée et 1 à 5 fois le taux inacceptable pour la santé » (Les masques, CO2 et toxicité, Dr Damien Lafont).
Conséquences psychosociales
Le port du masque généralisé a aussi des conséquences psychosociales évidentes, particulièrement graves chez les enfants et les adolescents (voir l’article ci-dessous, Impacts traumatiques de la politique sanitaire actuelle sur les enfants : un constat clinique alarmant).
Une carte blanche de Sébastien Kaisergruber, avocat, co-signée par des personnalités du monde de la justice, le 15 octobre 2020.
On ne peut reprocher aux gouvernants faisant face à une situation exceptionnelle de mettre en place des mesures exceptionnelles, a fortiori si celles-ci sont proportionnées par rapport aux intérêts à protéger. L’Etat de droit s’adapte, en effet, aux circonstances, et celles-ci nécessitent parfois, faute de temps ou d’information, que l’une ou l’autre décision soit prise dans l’urgence, voire dans la précipitation.
Cependant, lorsqu’une crise perdure, et qu’elle semble de surcroît vouée à perdurer de nombreux mois encore, le régime d’exception qui pouvait éventuellement se justifier initialement doit impérativement disparaître, en faveur d’une politique démocratique fondée sur des stratégies à moyen et long terme.
LIRE (sur droitbelge.be).
Une opinion de Nicolas Thirion, Professeur de droit à l’ULiège (sur le site web du journal La Libre, le 6 août 2020).
En rejetant, ce 5 août, la demande introduite contre l’État belge et la Région wallonne en vue de les contraindre à ordonner des tests de dépistage à l’aéroport de Charleroi pour les passagers revenant d’une zone rouge, le juge des référés du tribunal de première instance francophone de Bruxelles en a profité pour administrer, en passant, une volée de bois vert aux autorités belges à propos des multiples atteintes portées à l’Etat de droit. Extrait : "l’insécurité juridique est complète, car les règles changent sans cesse ; les atteintes à la vie privée sont multiples et loin d’être toujours justifiées en droit ; les voyageurs de retour de l’étranger sont fichés même s’ils ne reviennent pas d’une zone à risque ; l’égalité devant la loi est un principe qui paraît ignoré : les magasins de produits non alimentaires ont dû fermer quand la grande distribution était autorisée à vendre ces mêmes produits, la foire du Midi est interdite quand les parcs d’attraction sont ouverts".
LIRE.
Sommaire des effets collatéraux
Risques psychologiques liés à l’épidémie de Covid-19.
Reinfocovid France, le 10 décembre 2020.
- Lors du premier confinement, l’apparition d’une détresse psychologique a été observée chez 33% des répondants dont 12% en état de détresse sévère.
- Le confinement affecte plus fortement les populations déjà vulnérables et renforce les inégalités préexistantes.
- Le maintien des activités de loisirs habituelles et la réduction du temps passé à consulter les réseaux sociaux sont des facteurs limitant l’apparition de détresse psychologique.
- Fin novembre 22,6% de la population française a été diagnostiquée en dépression, soit 2 fois plus qu’en juillet.
- 20% des personnes interrogées ont envisagé sérieusement de se suicider en 2020.
- L’après confinement est une période de fragilisation psycho-sociale conduisant à une aggravation des pensées suicidaires.
- Au Japon les suicides sont partis à la hausse en 2020. Ce pays, comptabilise sur le seul mois d’octobre, un nombre plus important de personnes décédées par suicide (2153), que de personnes décédées du coronavirus sur tout 2020 (2087). Le Japon n’a jamais imposé de confinement strict.
LIRELe confinement constitue un remède pire que le mal
Une tribune d’un collectif de près de 350 universitaires, scientifiques, professionnels de la santé, du droit, de l’éducation et du social, ainsi que des artistes. Il s’agit de la France mais c’est parfaitement transposable à la Belgique (29 octobre 2020).
LIRENouveau confinement : 100 000 morts de plus
Par le Dr Arnaud Plagnol, psychiatre, professeur de psychologie à l’Université Paris 8, docteur en sciences cognitives et en philosophie (27 octobre 2020).
Il est question de la France : s’agissant des effets du confinement, aujourd’hui nous savons. Au moins 100 000 morts prématurées d’ici cinq ans. Une espérance de vie altérée à l’échelle de la population. Un million de nouveaux pauvres…
LIRE
Impacts traumatiques de la politique sanitaire actuelle sur les enfants : un constat clinique alarmant (7 décembre 2020).
Résumé
Des professionnels en psychologie, psychanalyse, pédiatrie et pédopsychiatrie dressent un constat alarmant au sujet des impacts traumatiques de la politique sanitaire actuelle sur les enfants.
Décrivant leurs observations, ainsi que les symptômes relevés dans leurs consultations et analysant les témoignages de parents, enseignants et enfants, ils relèvent de graves perturbations dans le vivre-ensemble et la socialisation, la survenue de nouvelles maltraitances au sein des établissements, une condamnation de la tendresse, de l’empathie et un interdit implicite à l’altérité, une entrave au développement relationnel, psychomoteur ainsi que des régressions dans les apprentissages, une fragilisation majeure de l’autorité bienveillante/contenante et de la posture parentale, une perte de repères structurants et des discours paradoxaux.
Le tableau clinique conclut à une souffrance psychique croissante chez les enfants, risquant d’entraîner une explosion de troubles psychiques graves et de passages à l’acte suicidaires.
LIRE
L’océan, cimetière des déchets du Covid
Blouses médicales, masques ou emballages de colis… La quantité de déchets plastiques liés au Covid est colossale, selon une étude scientifique. Ils finissent majoritairement dans les océans et représentent une « nouvelle menace pour la vie animale ». Selon les auteurs, entre mars 2020 et août 2021, 26 000 tonnes de déchets plastiques en lien avec la pandémie auraient atterri dans l’océan. L’équivalent, en poids, d’une flotte de 2 500 bus, ou d’un troupeau de 4 500 éléphants. La suite sur le site de Reporterre (novembre 2021).
Une mesure efficace et sans effets collatéraux : l’aération retour au sommaire
À propos de l’efficacité des aérations et ventilations pour juguler les risques épidémiologiques en lieux clos
Un article du #covidrationnel (4 décembre 2021). La conclusion de l’article :
La ventilation devrait être LA mesure non-pharmaceutique prioritaire. Contrairement à toutes les mesures mises en avant jusqu’à présent, aération et ventilation n’entraînent pas d’effets secondaires dommageables sur l’éducation, le vivre ensemble ou l’activité économique. Au contraire, elles peuvent être facilement maintenues sur le long terme et avoir des effets bénéfiques sur la propagation des autres infections respiratoires, ainsi que sur la qualité de toutes nos activités, notamment d’apprentissage, en intérieur.
LIRE (sur le site du #covidrationnel)
La mise en œuvre de mesures simples, naturelles et peu coûteuses permettrait de réduire largement le nombre de cas et la sévérité de la maladie et par conséquent le nombre d’hospitalisations et la mortalité. C’est en particulier le cas de la supplémentation en vitamine D (D3), une vitamine essentielle pour lutter contre les infections (« Plus on a un taux bas de vitamine D, quelle que soit la maladie, plus on meurt »*). Sans supplémentation, la grande majorité des Européens ont trop peu de vitamine D pendant la période hivernale par manque de réserve (en principe accumulée pendant l’été à condition de s’exposer au soleil suffisamment) ; en hiver, le soleil est trop bas et son rayonnement ultraviolet-B trop faible pour permettre à notre organisme de produire de la vitamine D en quantité suffisante. Toute production est même impossible au-delà d’une certaine latitude, en fonction de paramètres comme l’âge de la personne et la couleur de la peau.
Nos principaux atouts individuels et collectifs contre la maladie, que ce soit le covid, la grippe et toutes autres, sont notre santé et notre système immunitaire ce qui n’est quasiment jamais mis en avant par les autorités, soit par incompétence, soit parce qu’elles ne rapportent pas grand-chose au big pharma, et que, d’autre part elles ont choisi de distiller un discours de la peur avant toute chose.
Il est utile de rappeler que le covid est une maladie bénigne pour les enfants et les jeunes adultes et qu’elle est moins grave que la grippe pour les adultes en bonne santé. Des décès peuvent survenir chez les personnes très âgées et celles souffrant de pathologies comme le diabète, l’hypertension artérielle, les maladies cardiorespiratoires et rénales et l’obésité. Ce sont ces personnes à risque qui doivent être protégées, dépistées et traitées (correctement) le plus tôt possible.
Un taux sérique adéquat de vitamine D réduit très fortement la mortalité du covid
Selon une étude scientifique israélienne menée sur 1176 malades du covid admis à l’hôpital Galilee Medical Center entre avril 2020 et février 2021, les patients présentant une carence en vitamine D (moins de 20 ng/mL – nanogramme par millilitre de sang) étaient 14 fois plus susceptibles de souffrir d'une maladie grave ou mortelle que les patients dont le taux était plus grand ou égal à 40 ng/mL.
Lire l’étude (en anglais, le 3 février 2022).Covid-19 & supplémentation
Un extrait du livre du Dr Stéphane Résimont, Vitamine D3K2 (2e édition, novembre 2020). Ce livre est disponible gratuitement sur le web (voir la rubrique Bibliographie ci-dessous).
LIRE.La meilleure défense contre le Coronavirus est l’optimisation de la santé métabolique.
Un article de Jean-Paul Oury qui présente le livre et les suggestions du Dr Aseem Malhotra (cardiologue et professeur), The 21 Day Immunity Plan (août 2020).
LIREPlaidoyer de plus de 200 médecins pour l’utilisation de la vitamine D
Dans une lettre adressée aux autorités, plus de 200 scientifiques, médecins et sommités plaident pour une utilisation accrue de la vitamine D dans la lutte contre le covid (janvier 2021).
LIREPrévention par la pratique de la cohérence cardiaque
La cohérence cardiaque est un exercice de respiration facile à pratiquer et qui a toutes sortes d’effets bénéfiques dont celui de réduire l’état de stress et par conséquent de renforcer le système immunitaire.
Cohérence cardiaque (PDF, 2 pages).__
* Vitamine D, mode d'emploi. Dr Brigitte Houssin. Éditions Thierry Souccar, 2011.
Dans son livre, la Dr Brigitte Houssin conseillait déjà un taux de vitamine D sérique entre 40 et 45 µg/l. Aujourd’hui, d’autres spécialistes de la vitamine D conseillent des valeurs supérieures, jusqu’à 60 µg/l, voire plus pour quelques-uns. Une méta-étude publiée en octobre 2021 dans nutrients suggère un taux minimun 50 µg/l.
La valeur minimale de 30 µg/l recommandée en Belgique et d’autres pays est insuffisante : elle n’a été calculée que pour réduire le risque de fracture osseuse et prévenir l’ostéoporose chez les personnes âgées. Il faut éviter les supplémentations massives espacées (mensuelles par exemple) au profit d’une supplémentation quotidienne plus légère, à prendre pendant le repas comportant le plus de matière grasse (la vitamine D est liposoluble). La dose de vitamine D à prendre est de l’ordre de 50 UI par kg de masse corporelle et par jour, plus si carence et dans d’autres cas (absorption limitée…), en fonction de divers paramètres comme le poids, l’âge, la saison (l’exposition au soleil), le type de diète, etc., en général en association avec le magnésium et les vitamines K2 et A, vu leurs rôles dans le métabolisme de la vitamine D. Il existe d’excellentes vitamines D (D3) d’origine végétale (lichens) ou provenant de la laine de mouton (préférer celle qui est vendue en association avec la vitamine K2). La vitamine D figure parmi les déficiences les plus fréquentes avec le magnésium et les omégas 3.
Il est question ici des traitements du covid par l’ivermectine (IVM) et l’hydroxychloroquine (HCQ). Pour d’autres traitements, voir le site c19 (c19early.com, etc.).
Le graphique ci-dessous montre l’effet sur la mortalité de différents traitements administrés précocement (cliquer sur la vignette pour agrandir). On constate que l’ivermectine réduit la mortalité d’un facteur 5 et l’HCQ d’un facteur 4. Source : c19early.com (capturé le 2 juillet 2021).
![]()
Ce qui veut dire qu’entre la moitié et les trois quarts des morts du covid (fourchette basse, principalement des personnes âgées) auraient pu être évités sans les mesures restrictives en matière de soin de première ligne de nos gouvernements et autorités de santé (interdiction de l’HCQ, interdiction faite aux médecins de visiter leurs patients en maison de repos, médecine « téléphonique », instauration d’un climat de peur permanent, etc.).
Les propriétés antivirales de l’HCQ sont connues depuis de nombreuses années. Spécifiquement pour le virus du covid (SARS-CoV-2), les premiers essais et études datent du tout début 2020 : par exemple en Chine avec cette information du 17 février 2020 et en France avec cette publication disponible en prépublication le 17 mars 2021.
Il en va de même pour l’ivermectine utilisée depuis plusieurs années pour contrer l’action de divers virus. « L'ivermectine est utilisée depuis plusieurs années pour traiter de nombreuses maladies infectieuses chez les mammifères. Elle présente un bon profil de sécurité et peu d'effets indésirables lorsqu'elle est prescrite par voie orale. L'ivermectine a été identifiée à la fin des années 1970 et a été approuvée pour la première fois pour un usage animal en 1981. Son utilisation potentielle chez l'homme a été confirmée quelques années plus tard […] Dans cette étude, nous avons résumé les effets antiviraux de l'ivermectine en passant en revue les études in vivo et in vitro disponibles au cours des 50 dernières années » – extrait (traduit) de cet article scientifique Ivermectin: a systematic review from antiviral effects to COVID-19 complementary regimen. Voir ci-dessous la section « Ivermectine » pour les premiers rapports de traitement du covid par l’ivermectine.
Les effets secondaires de ces deux médicaments sont des plus faibles parmi les médicaments essentiels listés par l’OMS.
Les méta-analyses indépendantes sur l’efficacité de l’ivermectine arrivent toutes aux mêmes conclusions : l’utilisation de l’ivermectine divise par 4 à 5 la mortalité du covid, et dans 80 % des cas les troubles disparaissent deux fois plus vite.
Des pays comme le Sénégal traitent la population une fois par an contre les parasites avec l’ivermectine (et tous les symptomatiques Covid-19 avec l’HCQ). La mortalité du Covid-19 y est de 29 décès par million d’habitants, soit 60 fois moins qu’en Belgique et 35 fois moins qu’en France (calculé selon les données de statista.com au 12 janvier 2021). C’est remarquable, même en tenant compte d’une population nettement plus jeune (en France, selon un bulletin de Santé Publique France basé sur les données rapportées jusqu’au 6 janvier 2021, l'âge médian au décès est de 85 ans et 92 % avaient 65 ans et plus). Notons au passage que, pour l’Afrique, on est très loin des prévisions apocalyptiques de l’OMS et d’autres.
L’ivermectine est un des médicaments les plus sûrs de la pharmacopée mondiale et a été reconnu par l’OMS, en 2015, comme « sans danger, pouvant être utilisé à grande échelle ».
- Une métaétude montre l’efficacité de l’ivermectine (mai 2021)
Traduction de la conclusion de cette étude publiée dans l’édition de mai/juin 2021 de l’American Journal of Therapeutics* :
Des méta-analyses basées sur 18 essais de traitement contrôlés et randomisés de l’ivermectine dans le COVID-19 ont révélé des réductions importantes et statistiquement significatives de la mortalité, du délai de guérison clinique et du délai de clairance virale. En outre, les résultats de nombreux essais contrôlés de prophylaxie font état d’une réduction significative des risques de contracter le COVID-19 avec l’utilisation régulière de l’ivermectine. Enfin, les nombreux exemples de campagnes de distribution d’ivermectine ayant entraîné une diminution rapide de la morbidité et de la mortalité à l’échelle de la population indiquent qu’un agent oral efficace dans toutes les phases du COVID-19 a été identifié.
Va-t-on enfin comprendre qu’il y a d’autres voies qu’une vaccination expérimentale de masse aux conséquences potentiellement catastrophiques ? Pour cela, il faudrait aussi que les médecins de première ligne assurent de nouveau leurs rôles en toute conscience et liberté.
* Review of the Emerging Evidence Demonstrating the Efficacy of Ivermectin in the Prophylaxis and Treatment of COVID-19 ( Examen des nouvelles données démontrant l'efficacité de l'ivermectine dans la prophylaxie et le traitement du COVID-19). Kory, Pierre MD; Meduri, Gianfranco Umberto MD; Varon, Joseph MD; Iglesias, Jose DO; Marik, Paul E. MD. American Journal of Therapeutics. Mai/juin 2021.
- Lettre ouverte du GRAPPE aux médecins et aux autorités de santé belges (le 30 mars 2021)
Nous nous permettons de vous lancer un appel urgent à interpeller les autorités de santé de notre pays à propos de ce que nous considérons comme un manquement grave dans la politique de lutte contre la covid-19.
Ce manquement grave est l’indisponibilité en pharmacie d’un médicament prometteur, l’ivermectine. L’ivermectine est un médicament anti - parasitaire que vous connaissez sans doute par son utilisation en Asie et en Afrique dans le traitement de la filariose et de l’onchocercose. Mais son utilisation chez nous est celle du traitement de la gale. C’est d’ailleurs un épisode récent (mars 2020) à ce sujet qui a permis de constater sur le terrain le rôle potentiel de l’ivermectine dans le traitement précoce de la Covid-19.
Comme l’a rappelé récemment votre confrère, le Dr Alain Maskens, dans une tribune publiée par l’hebdomadaire le Vif du 08/01/2021, une épidémie de gale dans une maison de retraite française a conduit le médecin responsable à traiter tous les résidents (âge moyen : 90 ans) et les soignants avec l’ivermectine. Contrairement à ce qui s’est passé pour les autres établissements de la région, tous lourdement frappés, les cas de Covid-19 y ont été peu nombreux et plus légers et n’ont provoqué aucun décès. Depuis lors, l’efficacité antivirale de l’ivermectine a été démontrée in vitro et validée aux Etats-Unis par la FDA (Food and Drug Administration – Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux). Son action prophylactique a, elle aussi, été clairement mise en évidence et toutes les études cliniques publiées ont montré une action rapide en phase précoce d’une atteinte par la Covid-19, les troubles disparaissant après 48 heures. […]
LIRE- Une métaétude du Dr Tess Lawrie (MBBCh, PhD) confirmant l’efficacité de l'Ivermectine
- Courte présentation (vidéo de 3 minutes en anglais, sous-titrée en français, janvier 2021. Traduction par ivermectine-covid.ch).
Note : pour voir une vidéo sur site, patientez quelques instants le temps du téléchargement complet (le streaming est désactivé sur ce site).- Lire l’étude (en anglais, janvier 2021).
- L’étude du Dr Pierre Kory et de ses confrères (décembre 2020)
Le Dr Pierre Kory, pneumologue et médecin intensiviste, expose les résultats des recherches du groupe de médecins dans lequel il oeuvre, l'Alliance FLCCC.
- Voir la vidéo (9 minutes, en anglais, sous-titrée en français, décembre 2020 – Traduction par ivermectine-covid.ch).
Note : pour voir une vidéo sur site, patientez quelques instants le temps du téléchargement complet (le streaming est désactivé sur ce site).- L’étude (en anglais).
- Ivermectine : la France passe-t-elle à côté d’un médicament efficace contre la Covid-19 ? (article de presse, mars 2021).
« Alors qu’elle a démontré son efficacité contre le virus dans plusieurs pays, l’ivermectine est snobée par les autorités sanitaires occidentales et notamment françaises.
En mars 2020, alors que l’épidémie de la Covid-19 battait déjà son plein, une autre épidémie, de gale, est survenue dans un Ehpad de Seine-et-Marne. Pour soigner cette maladie parasitaire, les médecins prescrivent depuis des décennies un médicament bien connu et efficace : l’ivermectine (IVM). C’est ainsi que le docteur Charlotte Bernigaud, dermatologue à l’AP-HP Hôpital Henri Mondor, a traité l’ensemble des 121 résidents (69) et employés (52) de l’établissement.
La suite est moins banale : dans cette maison de retraite où la moyenne d’âge des résidents est de 90 ans, avec de surcroît 98% de personnes présentant une comorbidité à risque, le virus Covid-19 n’a pratiquement fait aucun dégât ».
- Lire l’article de presse.
- Lire l’article du Dr Bernigaud publié dans les Annales de Dermatologie et de Vénéréologie.
- Ivermectine dans la Covid, de la parole aux actes par l’AIMSIB (Association Internationale pour une médecine Scientifique, Indépendante et Bienveillante, janvier 2021).
LIRE
- Covid-19, un simple changement de méthode et c’est fini (janvier 2021)
« Une étude anecdotique mais sidérante a révélé le rôle extraordinaire de l’ivermectine chez des résidents de maison de repos en France, au travers d’une épidémie de gale traitée par l’ivermectine. Les 69 résidents et les 52 membres du personnel soignant ont pris l’ivermectine pour contrer les effets de la gale. Pendant cette période contemporaine de l’épidémie de COVID-19, 7 sur 69 des résidents traités par ivermectine sont tombés malades du COVID soit 10,1%. Dans ce groupe d’âge moyen de 90 ans, un seul des résidents a eu besoin d’un apport d’oxygène et aucun résident n’est décédé (0%). Dans un groupe témoin apparié de résidents des établissements environnants non traités par ivermectine, on a constaté que 22,6% des résidents sont tombés malades et 4,9% sont décédés »
LIREUne étude menée en Argentine (août 2020) portant sur près de 1 200 soignants au contact de patients covid, sur 4 sites, pendant 2 mois et demi : 788 ont reçu de l’ivermectine, 407 n’ont rien reçu. Résultat : aucune infection dans le groupe traité, 237 infections dans le groupe non traité (58 %). LIRE (en espagnol)
Au Brésil, GTFoods, une entreprise à risque (viandes) de 12 000 employés et touchée en permanence a réussi à éradiquer le covid.
Lire cet article en français ou l’orignal en anglais.- Compilation de résulats d’études sur l’ivermectine : c19ivermectin.com
- Voir le blog du Dr Gérard Maudrux qui contient nombre d’articles sur l’ivermectine.
Elle a montré une très bonne efficacité lorsqu’utilisée aux premiers jours de la maladie, en combinaison avec d’autres molécules comme l'azithromycine. Son intérêt pour traiter le covid était reconnu dans une publication scientifique dès février 2020 : Expert consensus on chloroquine phosphate for the treatment of novel coronavirus pneumonia.
- Le point sur le traitement à l’HCQ et d’autres traitements (juin 2021).
Pourquoi les pays occidentaux, contrairement à d’autres pays, n’ont pas réussi à réduire le taux de mortalité (des plus âgés).
Voir cette vidéo du professeur Didier Raoult (35 minutes).- Le point de vue des médecins de docs4opendebate.be
– Il est évident qu'avec un médicament efficace, il n'y a pas de raison de parler d'urgence ou de crise.
– Avec le protocole Zelenko (combinaison d'hydroxychloroquine, de zinc et d'azithromycine – voir la rubrique protocole), environ 1000 cas de Covid ont été guéris, généralement en quelques jours, avec un taux de réussite de presque 100 % et presque sans effets secondaires. Idéalement, il est appliqué aux personnes au début d'une maladie plus grave ; ce traitement évite l'hospitalisation. Aux doses indiquées, il n'y a presque jamais d'effets secondaires.
LIRE.- Voir le documentaire MAL TRAITÉS dans la rubrique Vidéos ci-dessous.
- Pour des articles scientifiques sur l’HCQ et une statistique des effets du traitement à l’HCQ selon l’ensemble des études disponibles, consulter le site c19study.com (onglet HCQ).
1. Protocoles du FLCCC
Note : FLCCC (Front Line COVID-19 Critical Care Alliance) est une association étasunienne mais la plupart des documents (site web) sont disponibles en français.
Des protocoles de prévention et traitement contre le covid centré sur l'ivermectine ont été mis au point par l'association de médecins FLCCC (États-Unis – voir les membres) pour la prévention et le traitement à tous les stades du covid.
Les protocoles du FLCCC son mis à jour régulièrement et sont disponibles dans plusieurs langues dont le français (attention : les traductions sont parfois en retard sur l’original en anglais, voir la date de publication tout en bas de la dernière page des documents).
« Formée par d'éminents spécialistes des soins intensifs en mars 2020, au début de la pandémie de coronavirus, la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance est une association à but non lucratif qui se consacre à l'élaboration de protocoles de traitement hautement efficaces pour prévenir la transmission du COVID-19 et améliorer les résultats pour les patients atteints de la maladie ».
L'ivermectine est un médicament antiparasitaire bien connu utilisé avec succès depuis plus de quatre décennies pour traiter des maladies parasitaires. Il s'agit de l'un des médicaments connus les plus sûrs ; il a été administré des milliards de fois dans le monde entier depuis des dizaines d’années.
En plus de l'ivermectine, ces protocoles comportent : vitamine D et C, quercétine, zinc, mélatonine, etc.
2. Protocole de Réinfocovid France et Coordination Santé Libre
« Sur la base des preuves scientifiques disponibles et de l’expérience clinique actuelle, le collectif Réinfocovid, la Coordination Santé Libre, en relation avec toutes les associations médicales qui la composent, met à disposition un bilan de la littérature ainsi qu’un protocole de traitement ambulatoire précoce du Covid-19 qui en découle » :
- Prise en charge ambulatoire du covid-19 (sur le site de Réinfocovid).
- La fiche de synthèse des traitements ambulatoires (PDF sur le site de Réinfocovid).
3. Protocole de Réinfo Santé Suisse Internationnal
« COVID-19
Traitez dès les premiers symptômes
Ivermectine en prévention & en traitement
75 % d’hospitalisations en moins
Prouvé par des centaines d’études et recommandé par des conseils scientifiques internationaux indépendants !
Parlez-en à votre médecin ! »
À télécharger sur le site reinfosante.ch (PDF, 2 pages).
4. Protocole de l’IHU Marseille
Protocole thérapeutique pour la prise en charge ambulatoire du covid-19 à l’IHU méditerranée infection.
Disponible sur le site mediterranee-infection.com.
5. Protocole du traitement précoce de l’AAPS
Des médecins de l’AAPS (Association of American Physicians and Surgeons, USA – dont le Pr Peter McCullough) ont édité un guide du traitement précoce du covid (en anglais uniquement, PDF, 26 pages).
Très détaillé, protocole à plusieurs branches selon le profil du patient :– Zinc, vitamine D3, vitamine C, quercétine.
– Hydroxychloroquine, AZT, etc.
ou
– Ivermectine, AZT, etc.
– Etc.Guide to Home-Based COVID Treatment (février 2022).
Signification des abbréviations de posologie utilisée dans ce guide :
– 200 mg po bid : comprimé de 200 mg par voie orale (po), 2 fois par jour (bid).
– 200 mg po qd : comprimé de 200 mg par voie orale (po), tous les jours (qd).
– 200 mg po qod : comprimé de 200 mg par voie orale (po), tous les 2 jours (qod).Pour une éventuelle version plus récente de ce document, voir le site de l’AAPS (il y a un formulaire à remplir).
6. Protocole du Dr Zelenko
Protocole disponible sur le site vladimirzelenkomd.com
Deux branches dans ce protocole :
- Patient à faible risque (moins de 45 ans, aucune comorbidité et cliniquement stable) : zinc, vitamine C, vitamine D3. Plus éventuellement quercétine et gallate d'épigallocatéchine (EGCG).
- Patient à risque modéré et haut risque (plus de 45 ans ou moins de 45 ans avec des comorbidités ou cliniquement instable) : hydroxychloroquine ou ivermectine, azithromycine, etc.
7. Autres protocoles
Liste de protocoles pour traitement précoce et prévention (en anglais) : c19protocols.com
Remarques
- Pour le traitement du covid et de toute autre maladie infectieuse, viroses et autres, la vitamine C à forte dose dès les premiers symptômes peut aider (vitamine C sous forme d’ascorbate de magnésium). Pour plus d’information, voir par exemple cette capsule vidéo du Dr Georges Mouton.
- Autres compléments alimentaires : si vous ne vous vous supplémentez pas déjà en vitamine D (en hiver du moins), vous devriez prendre de la vitamine D dans une certaine quantité. Par exemple, 10 000 UI/jour les premiers jours de la maladie, 5000 ensuite, associée à de la vitamine K2 et du magnésium (taurate, glycinate de magnésium, etc. – éviter l’oxyde, le sulfate, le glutamate et l’aspartate de magnésium). Voir le livre du Dr Résimont dans la bibliographie ci-dessous pour plus d’information (disponible gratuitement - PDF). Comme indiqué dans tous ces protocoles, le zinc est un complément essentiel.
Protocoles de traitement du covid long (chronique)retour au sommaire
Un protocole promu par l’association de médecins FLCCC :
- La traduction en français (PDF) : I-RECOVER – Protocole de gestion pour le syndrome de la COVID-19 de longue durée.
- La page du site de la FLCCC consacrée à ce protocole (en anglais) : I-RECOVER Management Protocol for Long Haul COVID-19 Syndrome (LHCS).
Autres :
Une feuille de calcul pour organiser un achat collectif de d’ivermectine (sans ordonnance) avec toutes les informations nécessaires : tableau des participants, calcul de leur dose d’IVM (ivermectine) selon leur poids et 2 protocoles de traitement, le calcul des coûts, une synthèse de 2 protocoles de traitement, des commentaires sur les protocoles, les sites où acheter l’IVM sans prescription, une comparaison des coûts selon l’origine de l’IVM, etc. Des explications sur le fonctionnement et l’objectif du groupe d’achat. Des conseils pour utiliser la feuille de calcul pour constituer un groupe d’achat.
Télécharger la feuille de calcul
Sommaire de la vaccination
Un article en français à propos de l’étude de V. Keddis, The relative impact of vaccination momentum on COVID-19 rates of death in the USA in 2020/2021. The forgotten role of population wellness (Public and Global Health, preprint, Mar. 2022. doi: 10.1101/2022.03.01.22271721).
L’essentiel :
- Le taux et la dynamique de la vaccination ne permettent pas du tout de prédire les évolutions de la maladie.
- Plusieurs facteurs de risque (ou de protection) sont plus importants que la dynamique de vaccination dans les états américains pour prédire l’évolution du taux de décès COVID-19.
- La consommation de fruits et l’exercice sont 10 fois plus efficaces que la vaccination dans la protection contre le décès dû à la COVID-19.
LIRE.
Un argumentaire court à distribuer aux jeunes et à leurs parents, rigoureusement basé sur des documents scientifiques (listés ci-dessous), notamment ceux de #covidrationnel (covidrationnel.be), un groupe d’universitaires belges. Il a été réalisé par l’IRA-Liège (Information, Résistance et Action), un collectif de citoyens de tous horizons, parents, grands-parents ou sans enfant, préoccupés et fâchés par le caractère non scientifique, antidémocratique et anticonstitutionnel des décisions des gouvernants belges depuis le début de l’épidémie (printemps 2020) et particulièrement depuis la campagne de propagande vaccinale. Et aussi très inquiets à propos des conséquences négatives des mesures de contraintes sur la santé et le développement psychosocial des jeunes, conséquences qui ne pourront que s’aggraver avec cette campagne de vaccination forcenée et la pression psychologique exercée à leur encontre pour les inciter à s’y soumettre.
- L’argumentaire (A5 recto-verso, PDF). Lire sur écran (HTML).
L’argumentaire en néerlandais : Tien redenen waarom we jongeren niet tegen covid moeten inenten (A5 recto-verso, PDF)
Conseil d’impression : imprimer sur une feuille A4, recto-verso, en retournant sur le bord court et sans mettre à l’échelle. À couper en deux.Pour aller plus loin, les études et analyses scientifiques sur lesquelles l’argumentaire est basé :
- #covidrationnel (un groupe d’universitaires belges parmi lesquels on trouve Bernard Rentier, virologue et ex-recteur de l’Université de Liège) :
- Rentrée scolaire sous haute tension : obligation vaccinale, pass sanitaire et vaccination systématique des enfants et des adolescents – Le point sur les derniers développements. Le 9 septembre 2021.
– En PDF sur le site du mpOC-Liège (mise en page compacte).
– Lire sur le site de covidrationnel.- Considérations sur la vaccination anti-Covid des enfants et des adolescents. Le 26 juin 2021.
- John P. A. Ioannidis, professeur d’épidémiologie à l’Université de Stanford (Californie). Réconciliation des estimations mondiales de la propagation et des taux de létalité réels du COVID-19 (21 février 2021).
- De nombreux professionnels en psychologie et pédiatrie nous ont alertés à propos des conséquences dramatiques de la politique sanitaire covidienne sur les enfants, les adolescents et les jeunes adultes. Parmi tous ces appels :
- Lettre ouverte de psychologues au président Macron (août 2021).
- Le Dr Frédéric Goareguer, pédopsychiatre belge, à propos des conséquences des mesures gouvernementales sur le développement psychique des jeunes : une interview à voir (14 minutes, avril 2021).
- Impacts traumatiques de la politique sanitaire actuelle sur les enfants : un constat clinique alarmant (décembre 2020 par un collectif de professionnels en psychologie, psychanalyse, pédiatrie et pédopsychiatrie).
Légalité de la distribution d’imprimés sur la voie publique
Quelques rappels à notre usage mais surtout à celui de la police, suite à la distribution de l’argumentaire mentionné ci-dessus dans les rues de Liège :
Selon un article du journal Welt publié le 25 février 2022, les assureurs des soins de santé publics allemands, les Betriebskrankenkassen, signalent des effets indésirables des vaccins nettement plus élevés que le Paul-Ehrlich-Institut (PEI), l’agence de pharmaco-vigilance de l’État allemand*.
Andreas Schöfbeck, membre du conseil d’administration de BKK ProVita, l’un de ces assureurs, a déclaré au Welt que « les chiffres que nous avons trouvés sont considérables et doivent être vérifiés au plus vite ».
BKK ProVita a constaté une fréquence anormale de certains diagnostics indiquant des effets secondaires indésirables des vaccins, notamment à propos de ces codes :
- T88.0 : infection ou septicémie après vaccination ;
- T88.1 : autres complications ou éruption cutanée après vaccination ;
- Y59.9 : complications dues aux vaccins ou aux substances biologiquement actives ;
- U12.9 : effets secondaires indésirables des vaccins Covid-19.
Cependant, le PEI rapporte des chiffres presque 10 fois plus bas (voir le graphique ci-contre qui montre le pourcentage d’effets secondaires selon l’assureur BKK et le PEI).
Selon Andreas Schöfbeck, il y a probablement eu 400 000 consultations par les seuls assurés du BKK en raison de complications liées aux vaccins. Extrapolé à la population totale [allemande], le nombre d’individus concernés serait de l’ordre deux millions.
Les données représentent 10 937 716 assurés allemands, soit plus de 13 % du pays. Elles s’étalent sur les six premiers mois de 2021 et environ la moitié des enregistrements de facturation du troisième trimestre de 2021.
Il s'agit donc d'une image très partielle des effets secondaires du vaccin, excluant notamment les effets de la 3e dose.
__
* Le Paul-Ehrlich-Institut (PEI) est une agence du ministère fédéral allemand de la santé. Ses activités de recherche et de contrôle visent à promouvoir la qualité, l'efficacité et la sécurité des médicaments. Elle est chargée de la recherche, de l'évaluation et de l'autorisation de mise sur le marché des médicaments à usage humain et des médicaments vétérinaires immunologiques. Ses attributions comprennent également l'autorisation des essais cliniques et la pharmacovigilance, c'est-à-dire l'enregistrement et l'évaluation des effets indésirables potentiels.
L’essentiel de cet article :
Par un collectif de 22 universitaires belges et de l’UC Lille.
À partir de considérations éthiques et de constats scientifiques actuels, nous plaidons pour le respect du consentement libre et éclairé de chaque personne, sur la base d’une balance risques-bénéfices bien établie, et contre toute obligation vaccinale.
Résumé (par le collectif)
Un collectif pluridisciplinaire de scientifiques, juristes et éthiciens issus de plusieurs universités adresse une note éthique et scientifique aux différentes instances concernées du pays, en particulier le Comité consultatif de bioéthique (CCB), pour qu’elles réévaluent leurs positions à propos de l’obligation vaccinale portant sur les vaccins anti-covid actuels. Selon les auteurs de la présente note, solidement étayée aux plans scientifique et éthique, les valeurs et principes en présence, combinés aux données de terrain et informations scientifiques les plus récentes, ainsi qu’aux enjeux d’une balance bénéfices/risques réactualisée et différenciée selon les situations, ne permettent pas d’envisager une telle obligation pour les soignants et, plus largement, pour la population en général. Car une obligation vaccinale avec les vaccins anti-covid actuels ne serait en rien inoffensive, proportionnée, nécessaire ni suffisante.
Les auteurs soulignent que les formes graves de la maladie touchent essentiellement des patients à risques (âge ou comorbidités) à présent bien connus et identifiables, et qu’un protocole de prise en charge ambulatoire précoce est reconnu et peut être appliqué en Belgique dès aujourd’hui. En s’appuyant sur les données de pharmacovigilance actuelle, ils soulignent que l’innocuité des vaccins anti-covid actuels est trop faible pour envisager qu’ils puissent être imposés à tous sans exposer un nombre significatif d’individus sains à des effets secondaires graves. Enfin, ils soutiennent que le meilleur moyen d’exercer une solidarité efficace et de protéger les patients les plus vulnérables à l’hôpital n’est pas de vacciner tous les soignants ni toute la population, puisque les vaccins réduisent temporairement les contaminations et les transmissions mais ne les empêchent pas. Il convient plutôt d’organiser, quand cela apparaît nécessaire, un testing régulier et gratuit des personnes vaccinées et non vaccinées qui travaillent ou demeurent au chevet des patients.
Le 3 novembre 2021, le Conseil supérieur de la santé (CSS) s’est positionné en faveur d’une obligation vaccinale du personnel soignant en s’appuyant sur un avis du Comité consultatif de bioéthique émis en décembre 2020. Or cet avis, antérieur aux premières campagnes de vaccination, est inévitablement inactuel au regard du questionnement sociétal et des données présentes. Les universitaires et scientifiques signataires de la présente note éthique appellent le CCB et le CSS à réactualiser leurs positions et à constater que les conditions sont loin d’être réunies pour toucher aux principes supérieurs du consentement libre et éclairé de la personne humaine et de son intégrité physique.
Un vaccin est habituellement constitué d’un agent infectieux atténué ou inactivé (par exemple le virus de la grippe), considéré comme sans danger, qui, lorsqu’injecté, provoque une réaction du système immunitaire ayant pour objectif de le préparer à une vraie future contamination – c’est du moins comme cela que les vaccins étaient conçus jusqu’à récemment. Nombre de vaccins contre le covid actuellement proposés ou qui le seront en 2021 (dans un temps record) utilisent des techniques jamais utilisées pour la vaccination qui relèvent en fait de la thérapie génique, d’où leur nom de vaccins génétiques ou géniques (vaccins à acides nucléiques) : ce sont soit des vaccins à ARN messager (Pfizer/BioNtech, Moderna, CureVac, etc.), soit des vaccins à ADN modifié (AstraZeneca, Johnson & Johnson, Spoutnik V, etc.) qui tous ont pour effet de faire produire la protéine spike de l’enveloppe du virus par nos cellules (c’est une des faiblesses de ces vaccins : il ne cible qu’une des protéines du virus, le vaccin sera donc d’autant plus rapidement inefficace avec la mutation du virus).
Un vaccin à ARN contre le covid contient de l’ARN du coronavirus (SARS-CoV-2), c’est-à-dire du code génétique, destiné à activer la machinerie cellulaire pour qu’elle produise les protéines virales (les protéines spike de l’enveloppe du virus) de l’agent infectieux (dit l’antigène) selon l’information contenue dans l’ARN afin de déclencher une réponse immunitaire.
Un vaccin à ADN est fait d’un autre virus (un adénovirus – il sert de vecteur) dont l’ADN a été génétiquement modifié pour être « désarmé » (rendu non infectieux) et intégrer de l’ADN codant la protéine du virus contre lequel on veut se vacciner. Par exemple, le vaccin AstraZeneca utilise un adénovirus de chimpanzé non réplicatif génétiquement modifié.
Ces techniques de vaccination tout à fait nouvelles reposent sur des processus complexes. Elles soulèvent de nombreuses interrogations et présentent des risques divers insuffisamment évalués comme vous pourrez le lire dans les documents ci-dessous ou en regardant les vidéos de la rubrique Vidéos|Vaccins.
Une synthèse de l’article publié le 30 septembre 2021 dans l’European Journal of Epidemiology analysant les données publiques d’augmentation de cas de covid en fonction des taux de vaccination dans les populations de plusieurs pays et régions (comtés) des États-Unis.
Un extrait de cette étude menée par un scientifique de l’université de Harvard (Harvard Center for Population and Development Studies) :
« Au niveau des pays, il ne semble pas y avoir de relation discernable entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 au cours des 7 derniers jours (Fig. 1). En fait, la ligne de tendance suggère que les pays dont le pourcentage de la population entièrement vaccinée est plus élevé présentent un plus grand nombre de cas de COVID-19 par million d’habitants. Notamment, Israël, dont plus de 60 % de la population est entièrement vaccinée, qui a enregistré le plus grand nombre de cas de COVID-19 par million d’habitants au cours des 7 derniers jours. L’absence d’association significative entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 est également illustrée, par exemple, par la comparaison entre l’Islande et le Portugal. Ces deux pays, dont plus de 75 % de la population est entièrement vaccinée, comptent plus de cas de COVID-19 par million d’habitants que des pays comme le Vietnam et l’Afrique du Sud, dont environ 10 % de la population est entièrement vaccinée ».
LIRE
Jean-Paul Bourdineaud enseigne la biochimie, la microbiologie et la toxicologie environnementale à l’Université de Bordeaux.
Sa lettre est un excellent plaidoyer en faveur du plus grand scepticisme à l’égard des vaccins géniques.
LIRE
Extraits d’une vidéo interview du Professeur Peter McCullough. Cette interview est non seulement un démontage des assertions « scientifiques » que le président français a faites le 12 juillet 2021, mais elle est aussi riche d’informations diverses, y compris sur le futur du SARS-CoV-2 et du covid. Peter McCullough, qui est professeur de médecine, interniste, cardiologue et épidémiologiste (USA), est on ne peut plus clair :
Voir cette vidéo (25 min).
« Peter McCullough, spécialiste en médecine interne et maladies cardiovasculaires et vice chief of medecine à l’université Baylor du Texas, que nous avions reçu pour un précédent debriefing qui a connu un important succès en France et outre-Atlantique, revient pour rappeler les traitements possibles aux différentes phases de la maladie, insistant longuement sur les traitements précoces qui ont permis d’écraser la courbe aux États-Unis mais également au Mexique, dans différents pays d’Amérique du Sud et dernièrement en Inde. Les médicaments donnés au début de l’infection permettraient une réduction de 85 % des hospitalisations[…]
Sans être opposé complètement à la vaccination qui peut être un outil pour les personnes à risque, il dénonce la généralisation de celle-ci et livre des données alarmantes du CDC (Centre pour le contrôle et la prévention des maladies aux États-Unis) qui montrent une augmentation du nombre de morts, d’hospitalisations et de dommages corporels depuis qu’elle est pratiquée sur l’ensemble de la population. Revenant sur les très nombreux effets indésirables, il rappelle que les vaccins n’ont pas été testés sur les personnes qui présentaient des pathologies lourdes et les femmes enceintes qui sont pourtant vaccinées aujourd’hui. Il précise que le chiffre de 90% d’efficacité est faux et diminue beaucoup dès lors qu’on ajoute tous les groupes qui n’ont pas été testés.
Après avoir analysé la génotoxicité de la protéine Spike qui circule dans le corps et qui est susceptible d’endommager plusieurs organes, il déclare que la protéine Spike est une tueuse.
Dans la dernière partie, il revient sur les agences de régulation qui ne régulent plus rien et critique la FDA (Food and Drug Administration – Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux) qui a selon lui, délivré l’autorisation de vacciner dans la précipitation. Il dénonce également les médias qui ne jouent plus leur rôle de contrôle, bien au contraire et qualifie la campagne de vaccination de propagande[…] »
Résumé :
- L’atteinte à la fertilité et à la gestation (fausse couche).
- Les problèmes de coagulation du sang.
- L’aggravation de l’évasion immunitaire et donc de la « pandémie ».
- L’augmentation des décès.
- L’apparition de maladies auto-immunes.
Le témoignage de Francis Leboutte à la suite d’une invitation à prendre rendez-vous pour la vaccination, à lire sur le site de Kairos.
Nous sommes-nous trompés ?
La vaccination contre le SARS-CoV-2, le virus responsable de la maladie COVID-19, a été lancée dans le monde alors que les essais cliniques ne sont ni complets ni terminés.
Pour la première fois dans l’histoire de la médecine, des produits qui sont toujours en phase d’évaluation des effets secondaires et de l’efficacité sont injectés à des êtres humains sans que ceux-ci ne soient correctement informés et sans obtenir leur consentement éclairé, sous couvert d’urgence et de déclarations des autorités sanitaires influencées par des firmes pharmaceutiques comme en témoigne ce document de l’Agence Européenne du Médicament (EMA-AEM).
LIRE
De nombreux médecins généralistes flamands ne veulent pas d’un vaccin Covid-19 pour eux-mêmes. Selon différentes enquêtes, ils seraint près de 20 %. Quelles pourraient être leurs raisons ? Voici quelques faits, le meilleur remède contre les fausses nouvelles. N’hésitez pas à vérifier vous-même les liens et les autres sources à la fin de cette fiche.
LIRE
– Sur 11 millions de Belges, cela signifie que la vaccination protégera 1100 personnes en Belgique contre une grave infection par le covid-19 et que la vaccination peut entraîner des événements indésirables graves chez 55 000 personnes en Belgique. Ceci est-il un profil de sécurité acceptable ? Et nous ne parlons que des réactions à court terme…
– Nous devons donc vacciner 10 000 personnes pour avoir une personne gravement malade moins ! Et ce, avec un vaccin pour lequel nous ne disposons pas encore de données de sécurité suffisantes.
En résumé, à l'heure actuelle (1 an après l'apparition du SRAS-CoV-2), les
données sont insuffisantes, tant sur la sécurité que sur l'efficacité des
nouveaux vaccins, pour les administrer à grande échelle à la population.
Surtout pour une pandémie dont le taux médian de survie en cas d'infection
est de 99,77%, même de 99,95% pour les personnes de moins de 70 ans, et
l'IFR (taux de mortalité dû à l'infection) est calculé à une moyenne de
0,23%, comme le montre la méta-analyse du professeur Ioannidis, publiée
sur le site de l'OMS [un taux de mortalité comparable à celui d'une mauvaise
année de grippe].
Nous pouvons donc conclure que cette campagne de vaccination
généralisée répond à la définition d'une expérience médicale et que le code de Neurenberg lui est applicable.
LIRE le dossier (janvier 2021). Le site docs4opendebate.be.
Le 19 janvier Michèle Rivasi s’est rendue à Bruxelles pour lire le contrat qui lie Curevac, multinationale biopharmaceutique allemande, à la Commission européenne, dans des circonstances pour le moins particulières : 45 minutes, dans une pièce fermée, avec interdiction de faire des copies ou prendre des photos, pour consulter un contrat de 67 pages. De nombreux passages sont noircis, notamment le prix des vaccins, les lieux de production, mais aussi deux pages entières qui portent sur la responsabilité juridique de la multinationale.
Lire et écouter sur le site de Kairos (19 janvier 2021)
Le porte-parole du Conseil de Sécurité, le docteur Yves Van Laethem, n’a cessé de le marteler : l’immunité collective ne pourra être assurée que par les vaccins, à condition que soit acquise une couverture vaccinale d’au moins 70 %.
Mais pour cela, il faudra rassurer et convaincre les réticents non seulement de leur efficacité mais surtout de leur innocuité.
Tous ceux qui contestent ce discours ou font état des risques à long terme ou des effets secondaires de vaccins fabriqués et autorisés à la hâte sont classés au mieux comme des idéologues anti-vaccins, au pire comme des complotistes.
Balayées les objections les plus fondées et les réticences face aux incertitudes, ignorés les faits pourtant avérés qui mettent à mal la doxa vaccinaliste de Mr Van Laethem.
Pourtant les faits sont les faits ; on peut les ignorer mais on ne peut pas les nier : ils ont plus de valeur que des croyances.
LIRE
Chers collègues et adhérent(e)s du SMAER,
Nous sommes là pour vous aider à prendre une décision dans le choix très délicat de la vaccination :
LIRE
Le 9 novembre, Albert Bourla, président de Pfizer, a déclaré au Washington Post que le vaccin développé par sa société et la société allemande BioNTech a démontré lors de la phase 3 de l’essai être efficace à 90% pour protéger contre l’infection. C’était un geste risqué de sa part dans le sprint final de la course au brevet, car il reste à démontrer que le vaccin est également sûr (n’ayant pas d’effets secondaires importants) et durable (étant constamment produit avec les plus hauts standards de qualité). L’annonce a certainement atteint l’objectif visé, à savoir obtenir une réaction positive des bourses : en quelques heures, la valeur des actions de Pfizer a augmenté de nombreux points, donnant au vaccin un avantage important sur le plan de la crédibilité financière sur les concurrents les plus redoutables pour le brevet, tels que Moderna (USA) et AstraZeneca-Oxford University (UK-S). Le jour même de l’annonce, le président de Pfizer a vendu 62% (132. 508) des actions qu’il détenait dans sa société à un prix moyen de 41,94$ par action, avec un gain personnel de 5,6 millions $.
LIRE
Extraits :
– Ces retombées pourraient être désastreuses sur le
plan sanitaire bien sûr mais également sur le plan environnemental (dans le cas par exemple
de la propagation de nouveaux virus recombinants).
– Ces candidats vaccins nécessitent une évaluation sanitaire et
environnementale approfondie incompatible avec l’urgence, qu’il s’agisse de celle résultant
de la pression des autorités décisionnelles et sanitaires ou celle des profits des industries
pharmaceutiques embarquées dans cette course au vaccin.
LIRE :
Les prix des vaccins sont contractuellement confidentiels, comme bien d’autres choses à leur propos. Eva De Bleeker les a néanmoins diffusés sur Tweeter et très vite retirés, s’excusant de sa gaffe… (17 décembre 2020). Voir la copie d’écran ci-contre. Coût pour la Belgique : 279 millions en 2020 et 500 millions en 2021.
Contre les pandémies, l’écologie –
D’où viennent les coronavirus ? Par Sonia Shah, mars 2020.
Extrait : Comme l’a déclaré l’épidémiologiste Larry Brilliant, « les émergences de virus sont inévitables, pas les épidémies ». Toutefois, nous ne serons épargnés par ces dernières qu’à condition de mettre autant de détermination à changer de politique que nous en avons mis à perturber la nature et la vie animale.
LIRE
Le virus à venir et le retour à l’anormal.
Par Pièces et main d’œuvre, le 26 avril 2020.
Un historique des accidents de laboratoire de recherche de biologie certainement incomplet mais qui donne néanmoins froid dans le dos. Extrait :
Ce qu’il faut retenir de cet échantillon de la vie quotidienne dans les laboratoires biologiques, c’est que les virus en sortent comme d’un moulin. Plus il y a de labos, plus il y a d’accidents de labo. L’évasion du Covid-19 serait tout sauf de la science-fiction.
La question, comme pour le nucléaire, n’est pas de savoir si une catastrophe biologique risque de se produire. En réalité, la catastrophe est en cours. Le monde est intégralement contaminé par les radiations nucléaires (bombes atomiques, essais, accidents, rejets volontaires, déchets), la dévastation de la biodiversité fait émerger les virus à un rythme accéléré, et l’explosion du nombre de laboratoires les manipulant rend certaine leur dissémination.
Chaque fois qu’un technocrate nous chantonne, tel Kaa le serpent, « le risque-zéro-n’existe-pas », souvenons-nous de ces évasions. Et de l’aveu du généticien Antoine Danchin : « En virologie, l’accident n’est pas l’exception, mais la règle. »
LIRE
Remarque : pour réduire l’empreinte carbone des documents audios et vidéos disponibles sur notre site ci-dessous, la lecture en continu (streaming) est désactivée : avant de pouvoir écouter ou regarder un de ces documents, le fichier sera entièrement téléchargé sur votre équipement. Dans la même optique, le poids de ces fichiers a été réduit (en mégaoctet, mégabyte). Pour information, la vidéo sur internet est responsable de 1 % des émissions de gaz à effet de serre anthropique (en 2018 et cette part est en augmentation).
Sommaire des vidéos et documents audios
Les interviews des auteurs des études de surmortalité en Belgique et en France présentées dans la rubrique « Surmortalité » ci-dessus.
Après avoir cliqué sur le lien d’une vidéo disponible sur notre site, patientez quelques dizaines de secondes ou quelques minutes, le temps du téléchargement de la vidéo
Le Grand Jury et les dessous du scandale covid
Une interview de Reiner Fuellmich, avocat allemand. Il nous explique dans une courte interview la volonté des oligarques et autres Young Global Leaders de créer le chaos et la peur, pour nous empêcher de comprendre ce qui se passe réellement et mieux nous contrôler. Mais aussi ce que nous pouvons faire pour résister et créer un monde meilleur.
En appui de cet interview, le Kairos Hebdo nº 5 du 6 mai 2022.VOIR (Reiner Fuellmich, 10 minutes, mai 2022)
VOIR (Kairos Hebdo, 12 minutes, 6 mai 2022)Le projet de « Traité international sur les pandémies » de l’OMS
Une interview du Dr Tess. Ce projet devrait être présenté à la prochaine Assemblée mondiale de la santé et ensuite être validé et ratifier par chaque État.
VOIR (3 minutes, avril 2022). Réinfo Santé Suisse International a mis en place une pétition contre ce traité.
Psychologie du totalitarisme
Par Ariane Bilheran, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, spécialisée dans l’étude de la manipulation, du harcèlement, de la perversion et de la paranoïa.
Un exposé donné pour le Conseil scientifique indépendant (France) en février 2022.VOIR (43 minutes).
Interview de Mattias Desmet, psychologue clinicien à l’Université de Gand
Par Kairos le 3 novembre 2021.
Pour Mattias Desmet, psychologue clinicien de l’Université de Ghent, la période actuelle se caractérise par une manipulation de masse débouchant sur une folie collective. Propre au totalitarisme, cet état laisse l’individu incapable de penser par lui-même, dépendant des solutions et des décisions du pouvoir.
Mais le sujet était prêt pour succomber aux sirènes du totalitarisme covidien, souvent pris dans une vie dénuée de sens, en attente de la pension, dans un vide relationnel et une angoisse flottante.
Que reste-t-il à faire? Parler, informer, expliquer. Casser le spectacle. Kairos s’y emploie.VOIR (68 minutes).
Covid-19(84) – La vérité politique du mensonge sanitaire
Une conférence-débat avec Michel Weber organisée par le mpOC-Liège le 25 août 2021.
Le 25 août 2021, le mpOC-Liège retrouvait un nouveau souffle en étant enfin en mesure d’organiser une conférence-débat, trop longtemps après la dernière en mars 2020, juste avant le premier confinement. Pour la troisième fois, nous avons fait appel à notre ami le philosophe Michel Weber, invité à donner cette fois son éclairage sur l’événement covid, dans la foulée de ses ouvrages sur la question*.
Nous étions soutenus par Attac-Liège, une association avec laquelle nous collaborons régulièrement dans le cadre d’un échange de bons procédés mis en place depuis de nombreuses années, Attac-Liège mettant à notre disposition une salle du centre liégeois du Beau-Mur**. Or, à notre grande surprise, le conseil d’administration d’Attac-Liège, en concertation avec celui du Beau-Mur, a décidé de nous retirer son soutien, ainsi que l’accès à la salle, la veille au soir même de la soirée ! Divers motifs nous ont été avancés par téléphone et encore sur le site web d’Attac-Liège, pas toujours cohérents entre eux ni même compréhensibles, et, de notre point de vue, pour tout dire, absurdes. Il ressort clairement que les 2 CA ont subi des « pressions », auxquelles ils n’ont pas pu ou voulu résister…
Heureusement, le jour même de la conférence, nous avons trouvé une autre salle in extremis où 120 personnes sont venues écouter et débattre avec Michel Weber dans la meilleure des ambiances. Le mpOC-Liège, ainsi que le Grappe et Kairos, condamne fermement la tendance à la censure de la liberté d’expression qui prend place dans une certaine « gauche » que l’on aurait espérée plus soucieuse du débat démocratique.
* Covid-1984 ou la vérité (politique) du mensonge sanitaire, Chromatika, 2020.
Pouvoir de la décroissance et décroissance du pouvoir. Penser le totalitarisme sanitaire, Chromatika, 2021.
Le complot de la Grande Réinitialisation n’aura pas lieu. Théorie et pratique du collectivisme oligarchique, Chromatika, 2021.
** Contrairement au mpOC-Liège, Attac-Liège est une association reconnue par la Communauté française, ce qui lui permet de faire état de nos conférences pour ses subsides.
*** Kairos avait donné son soutien entretemps de même que le Grappe en remplacement d’Attac-Liège après son retrait.
- VOIR la 1re partie (l’exposé) – 47 min (après avoir cliqué sur le lien de la vidéo, patientez quelques dizaines de secondes ou quelques minutes, le temps du téléchargement de la vidéo).
- VOIR la 2e partie (questions-réponses) – 48 min.
- Lettre ouverte aux membres des conseils d’administration d’Attac-Liège et du Beau-Mur.
Le lien pour accéder directement à cette rubrique : liege.decroissance.be/covid.htm#mw
Le projet de l’Union Européenne contre la liberté d’expression
Une analyse par Valérie Tilman, professeure de philosophie. Le 6 avril 2021.
VOIR (21 minutes).Débat avec la philosophe Barbara Stiegler
Elle publie « De la démocratie en pandémie. Santé, recherche, éducation » dans la collection Tracts de Gallimard (France-Inter le 16 janvier 2021).
ÉCOUTER (28 minutes).La crise du coronavirus n’est pas une crise sanitaire, c’est une crise politique
« C’est donc à la fois une bonne et une mauvais nouvelle… ». Michel Weber, philosophe, décembre 2020.
VOIR (13 minutes).
8 décembre 2021
Présentation du COCICO et alternative thérapeutique.
Avec les docteurs Michel Bureau (neurologue), Frédéric Caruso (urgentiste, réanimateur) et Anne Franchimont (généraliste).19 janvier 2022
Changement de cap pour mieux gérer la crise sanitaire.
Avec Catherine Burton (avocate, diplômée en droit social et médiatrice sociale agréée), Marc Wathelet (docteur en sciences, immunologie innée et virologie, spécialiste des coronavirus humains), Michel Bureau (neurologue, agrégé de l’enseignement supérieur).10 février 2022
Moratoire sur la vaccination des enfants.
Avec Bernard Rentier (professeur en biologie et virologie, 60e recteur de l’ULiège), Frédéric Goaréguer (pédopsychiatre UCL, porte-parole de ReinfoCovid Belgique), Marc Wathelet (docteur en sciences, immunologie innée et virologie, spécialiste des coronavirus humains), Michel Bureau (neurologue, agrégé de l’enseignement supérieur).24 février 2022
Le rapport bénéfice-risque des vaccins
Ne disposant pas de cette conférence en bonne qualité, nous vous proposons des conférences des intervenants dans d’autres cadres.
- Les traitements précoces de Pfizer : deux poids deux mesures (pas d’étude). Le Lancetgate. Par Marc Wathelet (docteur en sciences, immunologie innée et virologie, spécialiste des coronavirus humains).
- Les vaccins établis et expérimentaux : méthodologie des vaccins anti-Covid. Par Christine Cotton (biostatisticienne).
Voir son intervention dans le cadre du Conseil scientifique indépendant (France – février 2022, 59 minutes).- La surmortalité détectée dans les bases de donnée, pas dans la doxa (impact des vaccins sur la mortalité excessive). Par Patrick Meyer (chargé de cours à l’ULiège en bio-informatique).
Voir son intervention dans le cadre du Conseil scientifique indépendant (France – mars 2022, 42 minutes).Coordination: Dr Michel Bureau.
Le 28 février 2022
- Laurent Mucchielli (sociologue, directeur de recherche au CNRS – voir son livre dans la bibliographie, « La Doxa du Covid », publié en février 2022).
- Cécile Delrez (avocate).
- Michel Rosenzweig (philosophe et psychanalyste ULB).
Coordination: Dr Michel Bureau.
Après avoir cliqué sur le lien d’une vidéo disponible sur notre site, patientez quelques dizaines de secondes ou quelques minutes, le temps du téléchargement de la vidéo
Après avoir cliqué sur le lien d’une vidéo disponible sur notre site, patientez quelques dizaines de secondes ou quelques minutes, le temps du téléchargement de la vidéo
Après avoir cliqué sur le lien d’une vidéo disponible sur notre site, patientez quelques dizaines de secondes ou quelques minutes, le temps du téléchargement de la vidéo
Après avoir cliqué sur le lien d’une vidéo disponible sur notre site, patientez quelques dizaines de secondes ou quelques minutes, le temps du téléchargement de la vidéo
Vaccin, croyances et réalité
Par le Professeur Didier Raoult. Le point sur l’état de la campagne de vaccination contre le covid en le début du mois de février 2022.
VOIR (20 minutes, février 2022)Audition du Professeur Perronne au Parlement du Luxembourg
À propos des « vaccins » géniques et de la gestion l’épidémie de covid. Son intervention et quelques unes de ses réponses aux questions.
VOIR (23 minutes, le 13 janvier 2022)Interview de Geert Vanden Bossche
Geert Vanden Bossche est un virologue et vaccinologue belge. Il nous explique les dangers de la vaccination de masse en période d’épidémie et surtout lorsqu’on a affaire à un virus qui mute comme dans le cas du SARS-CoV-2.
VOIR (36 minutes, décembre 2021).Entretien avec le Dr Christian Vélot
Christian Vélot est généticien moléculaire à l’université Paris-Saclay. Il s’exprime sur les dangers de la vaccination de masse avec les pseudovaccins (vaccins génétiques à ARN et ADN) qui pourraient aboutir à l’apparition d’un virus mutant très agressif, sur le variant omicron, etc.
VOIR (65 minutes, décembre 2021).Interview de Martin Zizi
Martin Zizi est un médecin belge titulaire d’un doctorat en Biophysique Moléculaire, Hygiène et Santé Publique et a mené une double carrière dans les institutions gouvernementales et universités étasuniennes et belges (par exemple, comme Président du comité de bioéthique de la Défense belge). Actuellement il est le directeur d’une société implantée en Californie et en Belgique.
Au cours d’une analyse des propos (mensongers) du Premier ministre belge Alexander De Croo sur RTL-TVI, Martin Zizi explique certains des risques rédhibitoires des vaccins génétiques.
VOIR (40 minutes, 17 novembre 2021).Démontage des assertions « scientifiques » que le président français a faites lors de son « coup de force sanitaire » du 12 juillet 2021
Par le Professeur Peter McCullough.
VOIR (25 min).Pourquoi il faut mettre fin à l’utilisation des vaccins géniques
Par le Professeur Sucharit Bhakdi.
Une présentation en deux phases par ce médecin spécialisé en microbiologie et dans les maladies infectieuses, professeur retraité de l’université de Mainz.
2. Une mauvaise nouvelle : contrairement à ce qui est attendu du vaccin injecté dans un muscle, il diffuse dans tout le corps par la circulation sanguine et l'ARN du vaccin entre dans les cellules qui tapissent les parois des vaisseaux sanguins ; en conséquence, à partir de l'ARN introduit, ces cellules produisent la protéine virale (Spike). Ces cellules deviennent alors la cible du système immunitaire (les lymphocytes dont le rôle est de tuer les cellules qui fabriquent la protéine virale) : c’est la voie vers la formation de caillots [c’est-à-dire la thrombose, pouvant entraîner l’infarctus, l’embolie pulmonaire et l’accident vasculaire cérébral]. Un mécanisme encore renforcé lors de l'injection d'une 2e dose du vaccin, le système immunitaire ayant produit entretemps de nombreux anticorps à la suite de la 1re dose. Une situation totalement inédite créée par la vaccination qui peut mettre la vie des vaccinés en danger.
VOIR (juillet 2021, 16 min)
Propagande est le mot qui me vient pour qualifier la politique de vaccination
Une interview du Dr Peter McCullough. Peter McCullough est un spécialiste en médecine interne et maladies cardiovasculaires et « vice chief of medecine » à l’université Baylor du Texas.
Après avoir analysé la génotoxicité de la protéine Spike qui circule dans le corps et qui est susceptible d’endommager plusieurs organes, il déclare que « la protéine Spike est une tueuse ».
Dans la dernière partie de l’interview, il revient sur les agences de régulation qui ne régulent plus rien et critique la FDA (Food and Drug Administration –
Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux)
qui a selon lui, délivré l’autorisation de vacciner dans la précipitation. Il dénonce également les médias qui ne jouent plus leur rôle de contrôle, bien au contraire et qualifie la campagne de vaccination de propagande[…]
VOIR cette interview (28 juin 2021, 53 min).
Le témoignage d’Eric Clapton, musicien
Eric Clapton témoigne des conséquences du vaccin sur sa santé mais aussi sociales, à partir du moment où il s’est exprimé sur le sujet. Tout en sensibilité et justesse.
Eric Clapton, né en 1945 à Ripley (Angleterre), est une star du blues rock. Avec Jimi Hendrix, il est considéré comme un des plus grands guitaristes de blues rock de tous les temps. Photo par Majvdl, au concert de Hyde Park du 28 juin 2008.
VOIR (interview doublée en français, juin 2021, 24 min).Traitements génétiques anti-Covid : ce que vous devez savoir
Pour ne pas être vacciné idiot, voire ne pas mourir idiot, mais en tout cas pour ne pas refuser de vivre par peur de mourir.
Un exposé du docteur Vincent Reliquet qui est le cofondateur de l'AIMSIB (Association Internationale pour une Médecine Scientifique, Indépendante et Bienveillante).
VOIR (3 mai 2021, 53 minutes).Une interview du Dr Couvreur
Les Dr Yves Couvreur et Éric Beeth, soutenus par d’autres médecins, ont déposé une requête en annulation au Conseil d’État de la directive que l’ordre des médecins a transmis à tous les médecins de Belgique le 28 janvier 2021, cette directive disant qu’il considère que tout médecin doit faire la promotion de la vaccination et que tout médecin contestant le bienfait de la vaccination sera menacé de sanctions sévères. « Tout est faux » dit le Dr Yves Couvreur dans cet interview du journal Kairos : cette vaccination qui n’est qu’une expérience menée sur la population, le discours du Big pharma et des politiciens, la littérature scientifique…
- VOIR (25 mars 2021, 30 minutes).
- Vous trouverez plus d’information sur ce sujet dans la rubrique des recours en justice.
Audition du Dr Peter McCullough sur l’inutilité des vaccins
Extrait de l’audition du Dr Peter McCullough sur l’inutilité des vaccins devant une commission du sénat du Texas le 10 mars 2021 (4 minutes, en anglais sous-titrée en français). Le Dr Peter McCullough est un expert en santé publique, chercheur et cardiologue au Baylor Heart and Vascular Institute de Dallas (Baylor University Medical Center). Vous pouvez voir l’audition complète sur Youtube (19 minutes, en anglais). Il a été lui-même malade du covid en octobre 2020, voir cet article (en anglais) où il explique comment il s’est soigné et l’importance du traitement précoce à domicile, totalement absent des stratégies de lutte contre l’épidémie ce qui est à l’origine de la saturation des hôpitaux.
VOIR.La Commission européenne et sa présidente, Ursula von der Leyen, se sont couchées devant le Big Pharma
VOIR l’interpellation au Parlement européen de Manon Aubry du 10 février 2021 (10 févier 2021, 4 min).
Pourquoi se faire vacciner ?
Comment s’en laisser convaincre en 13 minutes de film d’animation :
La téléconsultation vaccinale d'Albert avec le Dr Poussa (21 janvier 2021).Autres
Dr Alexandra Henrion-Caude, chercheur, généticienne, directrice de l’Institut de recherche Simplissima, à propos du « vaccin » à ARN (pas un vaccin en fait, mais un traitement qui relève de la thérapie génique c’est-à-dire l’introduction de matériel génétique dans des cellules pour produire le résultat escompté) :
– 4 problèmes de ce vaccin (4 décembre 2020, 6 min).
– Sûreté du vaccin (30 novembre 2020, 3 min).
Moderna, Pfizer, ce ne sont pas des vaccins, c'est de la thérapie génique. Sud Radio, 2 décembre 2020, 16 min.
Une série d'interviews de médecins, scientifiques et juristes de haut niveau et indépendants pour entendre les faits et comprendre pourquoi nous en sommes arrivés là.
Les interviews complets sont disponibles sur le site du film, planetlockdownfilm.com. Sur ce site sont également disponibles des références à propos des faits relatés dans les interviews.
Télécharger le film (en anglais, sous-titré en français)
Bernard Crutzen, 70 min, janvier 2021
Alexandre Chavouet (1 h 27, décembre 2020)
Ce documentaire s'appuyant sur des données factuelles montre qu'une autre voie est possible dans la lutte contre le covid : celle des traitements précoces (HCQ – l’hydroxychloroquine –, AZ – azithromycine –, zinc, vitamine C et D) et de la prévention visant à améliorer notre immunité naturelle.
Notes :
Une enquête menée par Jutta Pinzler et Tatjana Mischke pour la chaîne allemande NDR et diffusée par ARTE.
Après avoir cliqué sur le lien d’une vidéo disponible sur notre site, patientez quelques dizaines de secondes ou quelques minutes, le temps du téléchargement de la vidéo
Sommaire de la rubrique « Résistances »
Information sur le site europeansunited.eu
______________________________
Archives de l’agenda : anciennes annonces
« La Commission citoyenne Covid est une plateforme pluridisciplinaire constituée par des spécialistes renommés dans les domaines du droit, de la santé et de la science.
Elle vise à mener une réflexion en parallèle de celle effectuée actuellement par la commission parlementaire qui statue sur une obligation vaccinale généralisée pour les citoyens belges contre le Covid. En effet, ses membres estiment que les informations données aux Belges depuis le déclenchement de la crise sanitaire sont incomplètes et tendent à soutenir une approche du tout vaccinal. Cette politique sanitaire semble montrer à présent ses limites et l’argument de la proportionnalité ne justifie plus à lui seul ces mesures sanitaires.
Cette commission a dès lors l’intention de fournir de manière totalement transparente toutes les informations utiles dans les domaines du droit, de la science et de la santé dans son sens le plus général pour que nos autorités et les citoyens puissent comprendre, analyser et se faire leur propre opinion quant aux enjeux liés à cette crise ».
Une lettre adressée à Benoît Dejemeppe en soutien au docteur Alain Colignon (le 17 fevrier 2022) :
« J’avais 71 ans en octobre 2021 lorsque j’ai fait un covid grave qui aurait pu me coûter la vie[…] J’estime que vous et l’Ordre des médecins que vous dirigez êtes responsables de la situation désastreuse dans laquelle je me suis trouvé et dont je paye encore les conséquences aujourd’hui par une fatigue persistante. En effet, durant le premier stade de la maladie, ces huit premiers jours où je présentais de la toux et de la fièvre, je n’ai eu accès à aucun traitement précoce et, bien évidemment, non à plus à un médecin pour me le prescrire[…] »
Modèle de lettre de refus à l’attention de la direction de l’école (source : Corps franc asbl).
Sur le site de Réinfocovid Belgique, vous trouverez un autre modèle de lettre et comment réagir si l’école refuse l’entrée à votre enfant non masqué.
« Mesdames, Messieurs les Ministres, membres des conseils scientifiques, ministres-présidents et autres « décideurs »,
Par la présente, nous vous informons que nous avons désobéi, que nous désobéissons et que nous désobéirons encore.
Nous désobéirons encore parce que nous ne pouvons pas rester cloîtrés chez nous sans juste motif. Nous avons besoin de respirer sans peur et sans masque l’air plus pur de nos campagnes et celui pollué de nos villes. Nous demeurons, plus que jamais, dans le besoin d’entourer nos parents et grands-parents, d’embrasser et câliner nos enfants et petitsenfants, d’enlacer et soutenir nos frères, nos sœurs, nos amis […] »
Lire et signer sur liberanos.eu (disponible en français, néerlandais, allemand et anglais)
![]()
![]()
![]()
Pour savoir que faire pour s’opposer à une amende pénale liée aux mesures covid, consultez cette page rédigée par des juristes belges, sur le site de l’association « Lawyers for democracy ».
Réinfocovid un collectif de soignants, médecins et scientifiques universitaires, réunis autour d’une idée : le besoin d’une politique sanitaire juste et proportionnée.
- Les objectifs du collectif (sur le site de Reinfocovid Belgique, reinfocovid.be)
- Vous pouvez rejoindre le collectif comme soignant ou comme citoyen (un des objectifs étant la création de groupes locaux).
Notre Bon Droit est une alliance de professionnels de la santé, de scientifiques, de juristes et de citoyens belges qui estiment que la réponse du gouvernement à la COVID-19 est malavisée et ne repose pas sur les meilleures preuves scientifiques disponibles. Au programme : de l’information à propos de vos droits dont des documents pour faire face aux situations concrètes auxquelles vous seriez confronté, des recours en justice, etc.
notrebondroit.be
Extrait de la chartre (juin 2021) :
La gestion de la crise sanitaire par les autorités publiques –tant nationales qu’européennes –a consisté essentiellement à n’imposer que des mesures coercitives et répressives au nom de la préservation de la seule santé physiquedes citoyens, et lesdites autorités ont fondé ces diverses mesures sur un discours «scientifique» univoque émanant d’un petit groupe d’experts (souvent en conflits d’intérêts). En outre, toute critique ou remise en cause de ce discours émanant d’autres scientifiques et d’intellectuels de diverses disciplines est systématiquement disqualifiée-non pas par une confrontation constructive des différentes opinions-mais simplement en taxant leurs auteurs de complotiste et/ou d’extrême-droite.
resistanceetlibertes.org
LAWYERS 4 DEMOCRACY est un collectif de professionnels dédié à la défense de la démocratie et de l'état de droit (Belgique).
« Notre objectif essentiel est d'oeuvrer à la sauvegarde de l'Etat de droit, de la démocratie et de nos libertés fondamentales, aussi bien individuelles que collectives, fortement mis à mal par la gestion de l'épidémie de COVID-19 par les pouvoirs exécutifs ».
www.lawyers4democracy.com
« Nous sommes un collectif de chercheurs réunis sous le label #covidrationnel. Nous sommes une équipe interdisciplinaire principalement composée de professeurs et chercheurs d’universités belges[…] Notre blog vise à apporter des éclairages, réflexions, questionnements ou solutions transversales et complémentaires sur la crise de la Covid-19 en Belgique ».
covidrationnel.be
Voir la rubrique Pétitions, les associations à l’origine d’une pétition.
À signer sur le site de Réinfo Santé Suisse International : www.reinfosante.ch
Pour entendre 9 experts supplémentaires dans le cadre des débats sur l’obligation vaccinale qui ont lieu dans la Commission santé de la Chambre des représentants.
Plus d’information et signer : https://dekamer.mijnopinie.belgium.be/initiatives/i-697
(période de recueil des signatures 11/02/2022 - 11/02/2023)Note : pour signer, vous devrez vous identifier électroniquement, d’une façon ou d’une autre, par exemple avec votre carte d’identité et un lecteur de carte (celui de votre carte bancaire devrait convenir). Si vous n’utilisez qu’un smartphone, il vous sera sans doute plus simple de le faire via un compte itsme (si vous n’en avez pas, vous pouvez le créer sur le site de la Chambre).
Alors que les campagnes de vaccination battent leur plein en Belgique et partout en Europe, de plus en plus de pays envisagent l’instauration d’un passeport vaccinal. Un tel passeport restreindrait, votre liberté de vous déplacer, votre droit de fréquenter certains lieux et votre droit d’accéder à certains services. C’est de la vaccination obligatoire déguisée. Et c’est du fichage.
À signer sur leslignesbougent.org (40 889 signataires au 10 février 2022).
Cette déclaration est le fait de trois des plus grands épidémiologistes au monde. Signée par plus de 62 000 soignants et plus de 860 000 citoyens au 10 février 2022.
Signer : gbdeclaration.org/la-declaration-de-great-barrington
__
Anciennes pétitions (pas nécessairement clôturées)
En vente en kiosque et dans les bonnes librairies :
Les documents ci-dessus ne constituent qu’une partie du dossier constitué par le mpOC-Liège.
Voir :
Hervé Krief. Les éditions Quartz (France), 60 pages. Janvier 2022.
Michel de Lorgeril. Kiwi, 432 pages, avril 2021.
« La crise sanitaire inédite provoquée par la Covid-19 a projeté la vaccination sur le devant de la scène médicale et médiatique : virus et vaccins se sont fermement et durablement imposés dans notre quotidien. Un vaccin, au plus vite, au plus fort et au plus grand nombre : voilà de quoi cristalliser les crispations et les tensions. Pro ? Anti ? Vous ne savez plus ? Au coeur de cet essai, aucun sujet n'est laissé de côté, aucun tabou n'est écarté : tous les acteurs sont questionnés, des politiques publiques aux lobbies pharmaceutiques, en passant par les médias et les communautés scientifiques, sans oublier les personnes privées et les associations. Aucun vaccin n'échappe au crible du docteur Lorgeril, expert mondialement reconnu en épidémiologie et méthodologie des sciences médicales. Il érige ici un nouvel outil d'information médicale : celui de l'équilibre risques/bénéfices. Cet essai met en lumière une recherche et une documentation rigoureuses et vous propose de décrypter la vaccination pour ne pas glisser sur le terrain de la désinformation et de l'incertitude, favorisé par les médias, les politiques et les marchands de terreur. Quand et qui vacciner ? Que contiennent les vaccins obligatoires ? Sont-ils efficaces ? Que cache leur composition ? Notre politique vaccinale est-elle réellement à la pointe de l'innovation scientifique ? Certaines maladies peuvent-elles être évitées ? Autant de questions auxquelles le docteur Lorgeril vous aide à répondre en éclairant les points noirs de la vaccination, pour une pratique vaccinale fondée sur des faits et non plus sur la peur. Chacun doit pouvoir se saisir de ces questions cruciales et exercer son esprit critique pour prendre des décisions médicales éclairées. Le docteur Lorgeril accompagne familles et professionnels vers une pratique confiante de la vaccination, vers une meilleure compréhension des enjeux politiques, sociaux et humains qui entourent cette pratique médicale moderne. Entre perceptions et réalités, le docteur Lorgeril navigue avec le lecteur de connaissance en croyance pour analyser au plus près les mécanismes qui brouillent les faits et évidences scientifiques. Il nous ouvre la fabrique des vaccins »
(source de ce résumé : payot.ch).Remarque : un chapitre de ce livre est consacré à l’évaluation des vaccins géniques anti-covid Pfizer, Moderna et quelques autres.
Michel Georget. Dangles, 512 pages, 13-11-2017 (2e édition).
« L'expression majeur et vacciné traduit parfaitement le fait que les vaccinations sont depuis longtemps entrées dans les mœurs. Au fil des ans, leur nombre s'est considérablement accru, jusqu'à ce qu'on envisage onze vaccins obligatoires avant l'âge de 18 mois, soit avant même que le système immunitaire soit pleinement fonctionnel.
Dans ce contexte, il convient d'étudier objectivement la balance bénéfices/risques. L'élévation du niveau de vie, les progrès de l'hygiène ont été les facteurs essentiels de l'amélioration de la santé, loin devant les vaccinations. Quant aux risques, ils ne seraient véritablement connus qu'avec une vaccinovigilance efficace. Or, aujourd'hui encore, elle est d'une regrettable indigence.
Les affaires judiciaires de santé publique se sont multipliées ces dernières années (sang contaminé, amiante, hormone de croissance, Mediator…). Un scandale vaccinal surgira si les autorités sanitaires continuent d'ignorer les victimes. Les campagnes publicitaires incitant à la vaccination contre l'hépatite B, les papillomavirus ou la grippe H1N1 ont renforcé l'impression d'une manipulation quant à leur justification réelle.
S'appuyant sur plus de 800 études internationales, le présent ouvrage vient donc à point pour vous aider à y voir plus clair : quels sont les différents types de vaccins et leur mode de fabrication ? À quels risques vous exposent les vaccinations ? Ces risques valent-ils d'être courus ? L'éthique du marché des vaccins n'est-elle pas déficiente ? Certains concepts sont-ils à réviser ? ».
Dr Suzanne Humphries & Roman Bystrianyk, Editions marco pietteur, 2013, 2021 pour l’édition française, 448 pages.
« Dans le monde occidental, il n’y a pas si longtemps encore, les infections mortelles étaient redoutées. Puis, de nombreux pays ont connu une métamorphose, passant de cloaques à maladies à des environnements beaucoup plus salubres et sains. À partir du milieu du XIXe siècle, le nombre des décès dus à toutes les maladies infectieuses a diminué de façon continue, jusqu’à atteindre des niveaux relativement faibles début 1900.
L’histoire de ce changement est entre autres marquée par la famine, la pauvreté, la saleté, les remèdes oubliés, la doctrine eugéniste, l’opposition des libertés individuelles à la puissance de l’État, les manifestations et les arrestations liées au refus de se faire vacciner.
Aujourd’hui, on nous dit que les interventions médicales ont augmenté notre espérance de vie et ont à elles seules sauvé d’innombrables vies humaines. Mais est-ce bien vrai ?
Vaccination, la grande désillusion ! détaille des faits et des chiffres tirés de revues médicales, d’ouvrages, de journaux et d’autres sources, toutes longtemps méprisées. À l’aide de graphiques faisant voler les mythes en éclats, ce livre montre que les vaccins, les antibiotiques et autres traitements du genre ne sont pas responsables de l’augmentation de l’espérance de vie et du déclin de la mortalité due aux maladies infectieuses. Si la profession médicale a pu systématiquement mal interpréter et ignorer des éléments historiques clés, il faut se demander : qu’est-ce qui est encore ignoré et mal interprété aujourd’hui ?
La meilleure raison de connaître notre histoire est sans doute que cela permet d’éviter que le pire ne se reproduise.
Suzanne Humphries est médecin, interniste et néphrologue agréée. Elle exerce actuellement en cabinet privé et continue à réfuter toute la mythologie autour de la vaccination. Roman Bystrianyk enquête sur l’histoire des maladies et des vaccins depuis 1996. Il possède une vaste expérience dans le domaine de la santé et de la nutrition, une licence en ingénierie et une maîtrise en science informatique ».
Après onze mois d’investigation, le journaliste scientifique Xavier Bazin dévoile les dessous de la crise sanitaire du coronavirus, qui marquera toute une génération. Avec plus de 300 sources scientifiques à l’appui, il révèle les conflits d’intérêts des mondes médical et politique qui ont conduit à trois graves dysfonctionnements :
– le dénigrement de l’hydroxychloroquine du Professeur Raoult ;
– le silence sur la prévention et les remèdes naturels efficaces, comme la vitamine D ;
– la focalisation sur le vaccin anti-Covid comme unique réponse à la crise.
L’industrie pharmaceutique a façonné, depuis vingt ans, une pensée médicale unique aux conséquences souvent dramatiques pour notre santé, qui nous ont explosé à la figure avec la Covid-19. Cette crise doit nous réveiller de notre torpeur : il est temps de changer radicalement de philosophie face aux virus, aux bactéries et aux problèmes de santé en général. Un autre système de soins est possible.
LIRE cette tribune de Xavier Bazin (avril 2021).
Lire la préface de Robert F. Kennedy, Jr., « Le courage moral et notre avenir commun », une courte histoire des ravages du Big Pharma sur la recherche biomédicale et de la pression exercée sur les scientifiques indépendants et courageux, dont Judy Mikovits et Peter Gøtzsche.
Bernard Legros. Les éditions Quartz (France), 60 pages. Avril 2022.
Ariane Bilheran, Vincent Pavan. G. Trédaniel, mars 2022.
Ariane Bilheran, philosophe, psychologue clinicienne et docteur en psychopathologie, est spécialiste de l'étude de la paranoïa, de la perversion, du harcèlement et des manipulations. Elle est l'auteur de nombreux livres parus chez Dunod et Payot, dont Psychopathologie de la paranoïa et Psychopathologie de l'autorité.
Vincent Pavan est maître de conférences et chercheur en mathématiques à l'université d'Aix-Marseille, département Polytech.
Extrait de la quatrième de couverture
À partir de l'exemple du traitement de l'information dans la crise politique liée à l'épidémie de Covid, cet ouvrage interroge le rapport entre l'idéologie et le savoir : censure des mots, néologismes, mots détournés, sophismes... Notre langue est un patrimoine collectif reçu en héritage. Lorsque cette langue ne fait plus sens commun mais qu'elle est récupérée, transformée et corrompue par des intérêts privés ou des communautés, c'est la porte ouverte à la radicalisation et au terrorisme dans la pensée.
Les auteurs - un mathématicien et une psychologue - mettent en lumière le traitement de la langue et de la logique, mis en oeuvre par les sphères politique et médiatique depuis mars 2020 en France.
Forts de leurs connaissances spécifiques, ils étudient le fonctionnement d'une information et d'une communication détournées. En s'appuyant sur des arguments sourcés et chiffrés, ils mettent en lumière la déconstruction des « vérités » scientifiques avancées par le gouvernement pour justifier ses actions politiques. Ils proposent une analyse détaillée de la « nouvelle langue », de la « nouvelle normalité » et des méthodes de contrainte psychique utilisées sur la population française.
Laurent Mucchielli, Éditions éoliennes, 128 pages, janvier 2022
« Le monde vit depuis février 2020 une crise sans précédent. L’explication officielle en est l’émergence d’un virus extrêmement dangereux provoquant une pandémie devant laquelle les gouvernements n’auraient pas eu d’autre choix que de confiner la totalité des populations en attendant qu’un vaccin nous délivre tous.
Au terme d’une enquête qui a rassemblé les compétences d’une cinquantaine de chercheurs et de médecins, l’auteur de ce livre conteste cette version de l’histoire. Il montre que le virus n’est pas en soi si redoutable, que des traitements précoces existent et sauvent des vies, que les confinements font beaucoup plus de mal que de bien aux sociétés, et que les nouveaux “vaccins” fabriqués en urgence sont des produits peu efficaces et parfois dangereux, destinés prioritairement à faire la fortune de leurs fabricants ». Lire la suite sur le site de l’éditeur.
Nicolas Thirion, Presses universitaires de Louvain, décembre 2021
Qu'une pandémie survienne est une chose, mais qu’elle enclenche, en temps de paix, un tel système de restrictions des libertés publiques en est une autre. Des pans entiers de notre existence quotidienne ont été atteints de façon inédite. Pire encore, notre vie « privée » a été et reste mise en danger. Mais pourquoi donc et comment ?
Qu'une pandémie survienne est une chose, mais qu’elle enclenche, en temps de paix, un tel système de restrictions des libertés publiques en est une autre. Circuler, se réunir, manifester, être éduqué, travailler, etc. : des pans entiers de notre existence quotidienne ont été atteints de façon inédite. Pire encore, notre vie « privée » a été et reste mise en danger. Mais pourquoi donc et comment un objectif dit « de santé publique » peut-il faire vaciller les principes fondateurs de l’État de droit démocratique et ceux de la démocratie représentative ?
Ce livre est percutant et décapant. Il dresse, pour la Belgique, un premier bilan, rigoureux et sans la moindre concession, des atteintes réelles portées à l’État de droit et à ses mécanismes démocratiques. Mais, dans un esprit prospectif, il tente aussi une hypothèse : ces atteintes graves se sont greffées, puis multipliées, sur des dérives bien antérieures à la pandémie. En somme, un régime politique, lui-même déjà grippé, peut voir son état de santé subitement se détériorer quand survient une crise qui nécessiterait de s’en tenir, pour la traverser, aux fondamentaux de l’État de droit.Écouter Nicolas Thirion à propos de son livre, en décembre 2021 (20 minutes, entretien mené par Eddy Caekelberghs, dans Au Bout du Jour, RTBF) et en janvier 2022 (29 minutes, par Elisabeth Michalakoudis, En Quête de Sens – Libres, ensemble, RTBF).
Publication collective. Éditeurs : Grappe et Kairos. 261 pages, septembre 2021.
Comment penser la crise du covid ? Quel regard citoyen porter sur ce qui nous arrive depuis mars 2020 ? Comment se positionner ? Saisis par l’ampleur des bouleversements entraînés par les politiques mises en place, les auteurs du collectif Elaïa ont souhaité mettre en chantier des réflexions ouvertes et citoyennes sur les nombreuses problématiques qui se sont fait jour : vaccins, masques, tests PCR, information et désinformation, obligations et restrictions, atteintes aux libertés, droit à la santé, certificat sanitaire, surveillance, contrôle, traçage, mise en péril de la démocratie, loi pandémie, etc. Dans un souci revendiqué de préserver la liberté d’expression et de lutter contre discrimination, pensée unique et propagande, ils se proposent d’emmener le lecteur dans une exploration rigoureuse et créative, et de chercher avec lui comment irriguer la pensée, sans la contraindre ni l’enfermer. « covid-19 : par-delà la censure » est une invitation à relire et réinventer nos choix citoyens, de façon éclairée et libre.
De la chloroquine aux vaccins, la crise du coronavirus révèle la face noire de notre système de santé.
Xavier Bazin. Guy Trédaniel éditeur, 245 pages, mai 2021.
Comme ce livre, déjà cité dans la rubrique « Big Pharma » ci-dessus, ne concerne pas que l’influence catastropique de l’industrie pharmaceutique sur la médecine, la politique sanitaire et la récherche biomédicale, il est également cité dans la présente rubrique.
Christian Perronne. Albin Michel, 288 pages, avril 2021
Sanctionné par le pouvoir, déchargé en 24 heures de son poste de chef de service, harcelé par ses critiques, Christian Perronne persiste et signe. Mais dans ce nouveau livre accablant l’auteur va plus loin.
Ce témoignage nécessaire, courageux, est servi par une écriture féroce, et nourri de faits précis. Il interpelle chacun d’entre nous.
Le Professeur Christian Perronne a été chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches. Pendant quinze ans il a été l’un des principaux conseillers en matière de santé publique de plusieurs gouvernements. Bien que faisant l’objet de plusieurs procédures administratives et judiciaires, il est toujours médecin et reste l’un des spécialistes reconnu des virus.
Martin Steffens, Pierre Dulau. Première Partie (Editions), avril 2021.
La crise sanitaire nous impose de masquer nos visages. Cette mesure sanitaire a un impact sur notre propre perception de nous-mêmes et de notre relation à l'autre car le visage est une porte ouverte sur la nudité de notre être. Pierre Dulau et Martin Steffens interrogent la crise actuelle sous un angle social, anthropologique et philosophique et montrent l'importance de son impact sur les relations sociales.
Marie-Monique Robin. La Découverte, février 2021.
« “Voir un lien entre la pollution de l'air, la biodiversité et la covid-19 relève du surréalisme, pas de la science !”, affirmait Luc Ferry en mars 2020, accusant les écologistes de “récupération politique”. Voilà un philosophe bien mal informé. Car, depuis les années 2000, des centaines de scientifiques tirent la sonnette d'alarme : les activités humaines, en précipitant l'effondrement de la biodiversité, ont créé les conditions d'une “épidémie de pandémies”.
C'est ce que montre cet essai, mobilisant de nombreux travaux et des entretiens inédits avec plus de soixante chercheurs du monde entier. En apportant enfin une vision d'ensemble, accessible à tous, Marie-Monique Robin contribue à dissiper le grand aveuglement collectif qui empêchait d'agir. Le constat est sans appel : la destruction des écosystèmes par la déforestation, l'urbanisation, l'agriculture industrielle et la globalisation économique menace directement la santé planétaire.
Cette destruction est à l'origine des zoonoses, transmises par des animaux aux humains : d'Ébola à la covid-19, elles font partie des nouvelles maladies émergentes qui se multiplient, par des mécanismes clairement expliqués dans ce livre. Où on verra aussi comment, si rien n'est fait, d'autres pandémies, pires encore, suivront. Et pourquoi, plutôt que la course vaine aux vaccins ou le confinement chronique de la population, le seul antidote est la préservation de la biodiversité, impliquant d'en finir avec l'emprise délétère du modèle économique dominant sur les écosystèmes ».Depuis les années 1970, le nombre de nouvelles pathologies infectieuses est passé d’une tous les 10–15 ans à 5 par an au moins.
Le meilleur antidote contre l’émergence de maladies infectieuses est la préservation de la biodiversité, la suppression de l’élevage industriel et le retour à une agriculture locale raisonnée. Et certainement pas toutes ces mesures de biosurveillance et biosécurité que nous connaissons aujourd’hui et qui font la part belle aux intérêts de l’industrie pharmaceutique et de l’agrobusiness.
Barbara Stiegler (ouvrage collectif).
Collection Tracts de Gallimard. 55 pages, 14 janvier 2021.
Michel Weber. Chromatika, 10 novembre 2020.
Lire un extrait.
Renaud Girard, Jean-Loup Bonnamy.
Gallimard, Collection Tracts, 15 octobre 2020.
Nicole et Gérard Delépine. Fauves, 432 pages, 15 septembre 2020.
Nicole Delépine est pédiatre et oncologue. Gérard Delépine est chirurgien, oncologue et statisticien.
Lire cette interview par Xavier Azalbert pour FranceSoir (2 octobre 2020). Extrait :
Il nous semble que l’analyse au quotidien de nos ressentis des annonces gouvernementales, de la soumission populaire et de l’extraordinaire silence des politiques (à l’exception de l’ancien ministre de la Santé P. Douste Blazy et de quelques isolés[6],laissant le peuple aux mains d’un pouvoir erratique aux contradictions incessantes, devrait nous permettre d’étudier plus froidement la suite de cette épouvantable saga dans lequel le petit virus, pas plus méchant que les grippes sévères des années précédentes ne semble pas jouer le rôle central, malgré ce que veulent nous faire croire les médias.
Nous avons voulu mettre à disposition du lecteur un ensemble de textes étudiant les problématiques qui nous ont volé, à tous, plusieurs mois de notre vie « normale » et perturbé gravement celle des enfants et adolescents, afin de tenter de sortir de l’émotionnel pur dans lequel le pouvoir enferme les citoyens encore à ce jour, et leur permettre une analyse plus froide et objective de ce qu’on nous impose de façon de plus en plus policière et dictatoriale.
Jean-Dominique Michel. humenSciences, juin 2020.
Christian Perronne. Albin Michel, 17 juin 2020. Le Professeur Christian Perronne est aujourd’hui chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches et spécialiste de la maladie de Lyme.
Sonia Shah. Écosociété, 2016.
Préface à l’édition 2020 et introduction.
Contact à propos de cette page :