La sagesse de l’escargot    Association d’Objecteurs de Croissance

 

Accueil

Le 18 octobre 2009, l'association ayant atteint son objectif de création d'un mouvement politique des objecteurs de croissance, elle passe le relai à ce mouvement.
Le présent site est maintenu en ligne dans l'état où il était à cette date.


Voir les sites du Mouvement politique des objecteurs de croissance et de Lìege-Décroissance.

 


L'objectif de l'AdOC est d’enrichir et de développer chez nous en Belgique la réflexion et l’action des Objecteurs de croissance.

Nous vivons dans un monde en crises. Crises au pluriel... À tel point que l'on peut parler de « décomposition » de nos sociétés. Les propositions de solutions pleuvent mais la majorité d’entre-elles, de quelques bords que ce soit, restent assujetties à l'idéologie de la croissance économique. Alors qu'un changement de cap est indispensable, la solution proposée comme unique voie acceptable est un maquillage en vert du développement industriel rebaptisé développement durable. Et s'il s'agissait là d'une erreur fondamentale, de la cause majeure de bien des problèmes ? C'est ce que pensent les Objecteurs de Croissances. Ce mouvement prend de l'ampleur, chez nous aussi. Au-delà des analyses, il établit des propositions et construit des alternatives.

Le 21 février 2009, pour marquer la mise en place d’un processus de constitution d’un mouvement politique[1], AdOC a organisé en collaboration avec ATTAC ULB et les asbl GRAPPE, Les Amis de la Terre Belgique et Respire, la première journée belge de réflexion sur l’objection de croissance. Cette journée, qui avait pour objectif de sensibiliser le public belge francophone aux thèses philosophiques et politiques de l'objection de croissance, a permi à plus de 800 personnes d'écouter et d'interagir avec Marie-Dominique Perrot, Serge Latouche, Ricardo Petrella, Michaël Singleton, Christian Arnsperger, Paul Lannoye et d’autres penseurs et acteurs de la décroissance.

Voir les actes de cette journée et la page contact si vous désirez participer à la constitution du mouvement.

  [1] Un mouvement politique, pas un parti.